Nourrice des grands cœurs, vieille terre des Gaules, Où mûrit l'héroïsme, où fleurit la gaîté, Grands chênes, ceps riants, prés verts bordés de saules, Terre où l'on respirait avec tant de fierté... Revue canadienne - Seite 151herausgegeben von - 1873Vollansicht - Über dieses Buch
| Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1873 - 1008 Seiten
...chênes, ceps riants, prés verts bordés de saules, Terre où l'on respirait avec tant de fierté... 0 terre hospitalière et douce autant que belle ! Cher...maternelle, D'où j'ai tiré ma sève et l'âme de mes vers * ... Que le ministre qui reprochait avec tant d'amertume au noble poète son pauvre traitement de... | |
| 1873 - 1268 Seiten
...chines, ceps riants, prés verts bordés de saules, Terre où l'on respirait avec tant de fierté... 0 Terre hospitalière et douce autant que belle ! Cher...maternelle, D'où j'ai tiré ma sève et l'âme de mes vers; foi qui parlais si haut à mon humble pensée, Quand j'allais l'écouter dans le secrcl des buis, Tu... | |
| 1873 - 514 Seiten
...chênes, ceps riants, prés verts bordés de saules, Terre où l'on respirait avec tant de fierté... 0 terre hospitalière et douce autant que belle ! Cher..., D'où j'ai tiré ma sève et l'âme de mes vers * ... Que le ministre qui reprochait avec tant d'amertume au noble poète son pauvre traitement de... | |
| Victor de Laprade - 1879 - 390 Seiten
...mûrit l'héroïsme, où fleurit la gaîté, Grands chênes, ceps riants, prés verts bordés de sauks, Terre où l'on respirait avec tant de fierté... O...Sous tes chênes muets je n'entends plus des voix. Je ne sens plus dans l'air ton haleine vivante, Ton souffle inspirateur des pensers généreux; L'azur... | |
| 1873 - 1278 Seiten
...chênes, ceps riants, prés verls bordés de saules, Terre où l'on respirait avec tant de fierté... 0 Terre hospitalière et douce autant que belle ! Cher...Sous tes chênes muets je n'entends plus des voix. Tu semblés, comme nous, porter un deuil immense Et soulfrir une part de noire immense affront, Noble... | |
| 1875 - 848 Seiten
...chênes, ceps riants, prés verts bordés de saules ; Terre où l'on respirait avec tant de fierté ! 0 terre hospitalière et douce, autant que belle ! Cher...maternelle, D'où j'ai tiré ma sève et l'âme de mes vers !... Et ainsi, en trente strophes magnifiques, s'épanche la filiale douleur du poète patriote. Peu... | |
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