Histoire du droit des gens et des relations internationales: La révolution française. 2. ptie |
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Marc - Aurèle valait bien un disciple du Christ , et Symmaque n'était pas plus un libertin que Plutarque ; cependant l'un ne se donna pas même la peine d'écouter les fables chrétiennes , et les autres restèrent attachés à celles du ...
Marc - Aurèle valait bien un disciple du Christ , et Symmaque n'était pas plus un libertin que Plutarque ; cependant l'un ne se donna pas même la peine d'écouter les fables chrétiennes , et les autres restèrent attachés à celles du ...
Seite 13
Voltaire n'était pas un savant , mais il avait un don qui vaut mieux que la science , le bon sens porté jusqu'au génie . Il répond à Bergier : « N'est - il pas absurde que Josèphe , si attaché à sa religion et à sa nation , ait reconnu ...
Voltaire n'était pas un savant , mais il avait un don qui vaut mieux que la science , le bon sens porté jusqu'au génie . Il répond à Bergier : « N'est - il pas absurde que Josèphe , si attaché à sa religion et à sa nation , ait reconnu ...
Seite 19
Après dix - sept siècles , il lui était cependant facile de s'assurer que l'Évangile n'était pas ouï de toute créature qui est sous le ciel . C'est un point de fait . Mais les faits ont tort quand ils contredisent la révélation ; on nie ...
Après dix - sept siècles , il lui était cependant facile de s'assurer que l'Évangile n'était pas ouï de toute créature qui est sous le ciel . C'est un point de fait . Mais les faits ont tort quand ils contredisent la révélation ; on nie ...
Seite 21
Les principaux citoyens n'admettaient pas ces extravagances ; mais la populace s'en nourrissait , et c'était la canaille juive qui parlait à la canaille païenne . Il n'était pas difficile à des énergumènes juifs de faire croire leurs ...
Les principaux citoyens n'admettaient pas ces extravagances ; mais la populace s'en nourrissait , et c'était la canaille juive qui parlait à la canaille païenne . Il n'était pas difficile à des énergumènes juifs de faire croire leurs ...
Seite 25
Au dix - luitième siècle , un théologien protestant déclara qu'aucune des deux preuves n'était fondamentale , et que le christianisme pouvait très bien subsister sans la croyance aux prophéties et aux miracles .
Au dix - luitième siècle , un théologien protestant déclara qu'aucune des deux preuves n'était fondamentale , et que le christianisme pouvait très bien subsister sans la croyance aux prophéties et aux miracles .
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