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SOCIETAS.

SOCIETATIS COMMODA.

... Non est bonum esse hominem solum....

Gen. CH. II, . 18.

Melius est ergò duos esse simùl, quàm unum : habent enim emolumentum societatis suæ. Eccle. IV, 9.

Si unus ceciderit, ab altero fulcietur; væ soli, quia cùm ceciderit non habet sublevantem se.

Ibid. 10.

Et si quispiam prævaluerit contrà unum, duo resistunt ei funiculus triplex difficilè rumpitur.

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Non est illi data à Domino gratia; omni enim sapientiâ defraudatus est.

Ibid. 24.

SUBJECTIO

POTESTATIBUS.

Omnis anima potestatibus sublimioribus subdita sit; non est enim potestas nisi à Deo : quæ autem sunt, à Deo ordinatæ sunt. Rom. xiu, 1.

SOCIÉTÉ.

AVANTAGES DE LA SOCIÉTÉ.

..... Il n'est pas bon que l'homme soit seul....

que

Il vaut donc mieux être deux d'être seul: on y. trouve toujours de l'avantage.

Si l'un est près de tomber, l'autre le soutient: mais malheur à l'homme isolé; car s'il tombe, il n'a personne pour le relever.

Si, dans une lutte, on succombe quand on est seul, à deux on peut résister : une triple corde se rompt difficilement.

SOPHISTE.

Celui qui use d'un langage sophistique est digne de haine: il sera trompé dans ses espérances.

Il n'a point reçu la grâce du Seigneur; car il est dépourvu de toute sagesse.

SOUMISSION

AUX PUISSANCES.

Que tout homme se soumette aux puissances supérieures; car il n'est pas de puissance qui n'émane de Dieu toutes celles qui existent ont été instituées par lui.

Itaque qui resistit potestati, Dei ordinationi resistit: qui autem resistunt, ipsi sibi damnationem acquirunt. Rom. CH. XIII, V. 2.

Nam principes non sunt timori boni operis, sed mali. Vis autem non timere potestatem? bonum fac et habebis laudem ex illâ. Ibid. 3.

Dei enim minister est tibi in bonum. Si autem malum feceris, time: non enim sine causâ gladium portat. Dei enim minister est, vindex in iram ei qui malum agit. Ibid. 4.

Ideò necessitate subditi estote, non solùm propter iram, sed etiam propter conscientiam.

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Ideò enim et tributa præstatis: ministri enim Dei sunt, in hoc ipsum servientes.

Ibid. 6.

Reddite ergo omnibus debita: cui tributum, tributum cui vectigal, vectigal : cui timorem, timorem cui honorem, honorem.

:

Ibid. 7.

..... Reddite.... quæ sunt Cæsaris, Cæsari et

:

quæ sunt Dei, Deo.

Matt. XXII, 21.

Celui donc qui résiste aux puissances s'oppose à un ordre que Dieu a établi, et attirera sur lui la condamnation.

Car les princes ne sont point à craindre lorsqu'on fait de bonnes actions, mais seulement quand on en fait de mauvaises ; voulez-vous n'avoir rien à redouter des puissances? faites le bien, et elles vous approu

veront.

C'est pour votre avantage en effet que le prince a été établi ministre du Seigneur. Mais si vous faites le mal, vous avez raison de le craindre, parce que ce n'est point en vain qu'il est armé du glaive; ministre de Dieu, il est destiné à exercer sa vengeance contre les coupables.

Vous devez donc vous soumettre à son autorité, non dans la crainte du châtiment, mais par devoir de conscience.

Lorsque vous payez des tributs aux princes, c'est aussi parce qu'ils sont ministres du Seigneur, et qu'en cela ils ont eux-mêmes une grande charge à remplir;

Rendez donc à chacun ce qui lui est dû: Payez le tribut à qui vous devez le tribut, et les impôts à qui vous devez les impôts; craignez ceux que vous devez craindre, et honorez ceux à qui vous devez des hon

neurs.

Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.

MOR. DE LA BIB. II.

25.

Subjecti igitur estote omni creaturæ humanæ propter Deum; sive regi quasi præcellenti; I. Pier. CH. 11, †. 13.

Sive ducibus tanquam ab eo missis ad vindictam malefactorum, laudem verò bonorum.

Ibid. 14.

Quia sic est voluntas Dei, ut benefacientes, obmutescere faciatis imprudentium hominum ignorantiam.

Ibid. 15.

Quasi liberi, et non quasi velamen habentes malitiæ libertatem, sed sicut servi Dei.

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Qui diligit epulas, in egestate erit; qui amat vinum et pinguia, non ditabitur.

Prov. XXI, 17.

Noli esse in conviviis potatorum, nec in comessationibus eorum qui carnes ad vescendum conferunt. Ibid. XXIII, 20.

Quia vacantes potibus et dantes symbola consumentur, et vestietur pannis dormitatio.

Ibid. 21.

(1) On pourroit encore traduire de cette manière : à payer des écots; c'est ce que signifie le latin symbola, selon les

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