 | M. Fayolle - 1805 - 348 Seiten
...grâces de son esprit , ni à son feu , ni à sa gaieté , ni à ses saillies , ni à ses disparates : ses ouvrages même n'ont ni le caractère ni la physionomie...conversation : quand on le lit on le croit livré par goût aux choses les plus sérieuses ; quand on l'entend on jureroit qu'il ne s'est jamais occupé... | |
 | Friedrich Melchior baron von Grimm - 1813 - 462 Seiten
...aux grâces de son esprit, ni à son feu, ni à sa gaieté, ni à ses saillies, ni à ses disparates. Ses ouvrages même n'ont ni le caractère, ni la physionomie...le voyant, on jugerait qu'il n'a jamais pu y penser ; c'est tour-à-tour le maître et l'écolier. Il 'ne s'informe guère de ce qui occupe la société... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1813 - 532 Seiten
...grâces de sou esprit , ni à son feu, ni à sa gaieté, ni à ses saillies, ni à ses disparates. Ses ouvrages même n'ont ni le caractère, ni la physionomie...voyant, on jugerait qu'il n'a jamais pu y penser; e'ejst tour-à-toir le maître et l'écolier. . J,l ne s'informe guère de &. qui occupe la société;... | |
 | 1813 - 740 Seiten
...l'amitié. Rien ne peut se » comparer ni aux grâces de son cs» prit, ni à son feu, ni à sa gaîlé, » ni à ses saillies .... Ses ouvrages » même n'ont...Quand on le lit, on le croit livré » aux choses 1rs plus sérieuses ; rn •* le voyant , on jugerait qu'il n'a ja» mais pu y penser Ses idées n... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1814 - 446 Seiten
...aux grâces de son esprit, ni à son feu, ni à sa gaieté, ni à ses saillies, ni à ses disparates. Ses ouvrages même n'ont ni le caractère, ni la physionomie de sa conversation. Quand on le lit, on le croît livré aux choses les plus sérieuses ; en le voyant, on jugerait qu'il n"a jamais pu y penser... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1814 - 456 Seiten
...aux grâces de son esprit, ni à son feu, ni à sa gaieté, ni à ses saillies, ni à ses disparates. Ses ouvrages même n'ont ni le caractère, ni la physionomie de sa conversation. Quand on le lit, on le croil livré aux choses les plus sérieuses ; en le voyant, on jugerait qu'il n'a jamais pu y penser... | |
 | Jacques Delille - 1818 - 320 Seiten
...grâces de son esprit, ni à son feu, ni à sa » gaîté, ni à ses saillies Ses ouvrages même M sa conversation. Quand on le lit, on le croit » livré...penser Ses idées se succèdent en foule, et » il les communique toutes : il n'a ni jargon, » ni recherche ; sa conversation est un heu» reux mélange... | |
 | Jacques Delille - 1819 - 420 Seiten
...l'amitié. Rien ne peut se comparer ni » aux grâces de son esprit , ni à son feu , » ni à sa gaîté., ni à ses saillies*..... Ses » ouvrages même n'ont...penser.... Ses idées » se succèdent en foule , et il les commu» nique toutes : il n'a ni jargon, ni re» cherche; sa conversation est un heureux 3) tnélange... | |
 | 1822 - 500 Seiten
...se comparer ni aux grâces de son esprit , ni à son feu , ni à sa gaîté , ni àsessaillies.... Ses ouvrages même n'ont ni le caractère ni la physionomie de sa conversation. Quand ou le ht , on le croit livré aux choses les plus sérieuses; ea le voyant, on jugerait qu'il n'a jamais... | |
 | Jacques Delille - 1834 - 438 Seiten
...de son esprit , ni à » son feu , ni à sa gaîté , ni à ses saillies Ses ouvra» ges même n'eu ni le caractère , ni la physionomie de sa » conversation. Quand on le lit , on le croit livré aux cho» ses les plus sérieuses ; en le voyant , on jugerait qu'il » n'a jamais pu y penser Ses idées... | |
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Rien ne peut se comparer ni aux grâces de son esprit, ni à son feu, ni à sa gaieté, ni à ses saillies, ni à ses disparates. Ses ouvrages même n'ont ni le caractère, ni la physionomie de sa conversation. Quand on le lit, on le croit livré aux... 
