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naissez-vous celui qui l'a soustrait à » ma juste vengeance? Oui, sire, Nommez-le. » répond Crillon. » C'est moi: je me serais cru l'assassin » de Fervaques, si j'eusse gardé un » secret qui lui eût coûté la vie. Que » votre majesté dispose de la mienne; » elle m'est moins précieuse que l'hon>>neur d'avoir sauvé celle d'un sujet >> peut-être innocent, et dont le sang » pourra un jour être utilement ré» pandu pour le service de V. M. » Le roi étonné, garde quelque temps le silence; enfin il s'écrie: « Comme >> il n'est qu'un Crillon dans le monde, » ma clémence en sa faveur ne fait » pas un exemple ». Le duc d'Alençon s'étant réuni au roi de Navarre, Heuri soupçonna la reine Marguerite, sa sœur, d'avoir favorisé son évasion. Il lui défendit de sortir de son appartement, et lui donna des gardes, auxquels il fut défendu, sous peine de la vie, de laisser entrer personne chez la princesse; tous les courtisans s'éloignèrent d'elle. Crillon seul osant se présenter, força, par ses regards et ses menaces, l'entrée que les gardes lui refusaient. » Je demeurai en cet état quelques » mois, dit Marguerite dans ses mé» moires, sans que personne, ni mê» me mes plus privés amis, m'osassent > venir voir, craignant de se ruiner. » A la cour, l'adversité est toujours » seule, comme la prospérité est ac» compagnée et la persécution assistée » de vrais et entiers amis. Le seul » brave Crillon fut celui qui, mépri»sant toutes les défenses et toutes les » défaveurs, vint cinq ou six fois en » na chambre, étonnant tellement » les cerbères que l'on avait mis à ma porte, qu'ils n'osèrent jamais le » dire ni lui refuser le passage ». La guerre de la ligue avait éclaté; Crillon s'y distingua par son courage et même par ses vertus: Henri le nomma ser

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gent-général de bataille, au siége de la Fère (1580 ). Il commanda l'attaque qui décida de la reddition de cette place, et il y reçut plusieurs blessures. L'année suivante, Henri lui donna le régiment des gardes, et le nomma chevalier de l'ordre du St.Esprit. « Puisque Crillon, lui dit»>il, est obligé de quitter la croix de » Malte, on ne l'appellera plus le » chevalier de Crillon, mais on l'ap»pellera toujours le Brave ». Bientôt après il fut admis dans le conseil du roi, et nommé lieutenant-colonel-gé · néral de l'infanterie française, charge qui fut créée pour lui, et supprimée après sa mort. En 1586, il commanda sous d'Espernon l'armée royale en Provence, monta le premier, selon son usage, à l'assaut de la Bréole, et y fut blessé. La Provence fut bientôt soumise, et la cour en renvoya tout l'honneur à Crillon. Un soldat de la ligue s'était chargé de l'assassiner; mais, intimidé à l'aspect du héros, il ne porta qu'un coup d'épée mal assuré. Crillon méprisa ce vil sicaire, et le laissa s'échapper. Il se trouva dans Paris à la fameuse journée des barricades, et si Crillon eût été écouté, la majesté royale n'eût point été avilie. I proposait d'opposer partout la force à la sédition; mais la pusillanimité du prince laissa la populace pousser les barricades jusqu'à cinquante pas du Louvre; et, lorsque le duc de Guise y parut en maître, venant dicter la loi à son souverain, un regard de Crillon fit rongir et déconcerta le chef de la ligue ( Davila). Heuri, méprisé, haï, abandonne de ses sujets, sortit précipitamment de Paris, et Grillon, toujours fidèle, le suivit dans sa fuite. Quatre mille Suisses et cinq cents gardes françaises étaient la seule armée qui restât au monarque; mais les Suisses, arrivés à

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Etampes, voulaient se retirer, et leur exemple pouvait ebranler les gardes. Crillon fait faire halte à son régiment; il se place au centre, harangue les soldats qui jurent de ne jamais l'abandonner; alors, il marche avec eux vers les Suisses qui étaient sous les armes: « Il faut, dit-il à leur colonel, jurer que vous serez fidèle au roi, » ou vous battre à l'instant contre » moi». Le colonel et les Suisses jurent qu'ils n'abandonneront point la cause de Henri. Ce prince embrasse Crillon et lui dit: « Je vous remercie, » mon brave, de la iberté, du trône » et de la vie que je vous dois. Sans » vous, abandonné et trahi, j'étais en » la puissance du duc de Guise ». Ger endont Henri fit la paix avec la Jigue; Guise fut nomme generalissime. Les états s'assemblèrent à Blois, et le meurtre de Guise fut résolu. Henri fait venir Crillon dans son cabinet: « Croyez-vous que le due de Guise » mérite la mort ?-Oui, sie.-EL! » bien, c'est vous que je choisis pour » la lui donner. - J'y cours. - Ar» rêtez, écoutez-moi : vous allez vous » battre avec lui, ce n'est pas ce que » je veux. Le titre seul de chef de la » ligue le rend criminel de lese-ma» jesté. - Eh! bien, sire, qu'il soit »jugé et exécuté. Mais, Crillon, » sentez-vous le risque que je cours? » Je ne puis juridiquement punir mon » ennemi, et c'est un coup non prévu » qui doit lui arracher la vie. J'attends » de vous ce service important: l'épée » de connétable en sera la récom» pnse ». Crillon confondu, se tait un moment, et répond: « Sire, la preuve » que me donne V. M. que ma con» duite, jusqu'à ce jour irrréprochable, » n'a pu me gagner son estime, m'engage à me retirer dans ma famille; » je ne flétrirai point son nom par une infamie. - Je vous connais,

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» Crillon, et personne n'a plus de » part que vous dans mon estime; » mais songz que de la mort du duc » de Guise dépend ma sûreté; que » je ne puis me défaire de lui que » par surprise, et que vous seul.... -Sire, n'achevez pas, permettez que » j'aille rougir, loin de la cour, d'avoir » entendu mon roi, pour qui je donne » rais mille fois ma vie, une demander » le sacrifice de ma gloite. Ab! sire, j'en » mourrai de douleur. — C'est assez, » dit le roi, je vous connais, je vous » estime, je vous aime; donnez-moi » votre parole que vous n'avertiret » point le duc, comme vous avertites Fervaques, et votre parole mne sui» fira ». (1) L'assassinat des Guises avait eu pour but de perdre la ligue; il ne fit que l'étonner, et redoubla ses fureurs. Catherine l'avait, dit-on, prévu; elle en mourut de chagrin: d'An male fat fat gouverneur de Paris, Mayenne, lieutenant-généi al duroyanme. Le due d'Alençon n'était plus; Henri III n'avait point d'enfants, et le roi de Navarre, seul héritier du trône, allait se réunir à ce même Henri, lorsque le sceptre qu'il portait sans force et sans dignité, semblait près de passer dans des maius etrangères. Hemi, ne se trouvant plus că sûreté à Blois, se retira à Tours. Mayenne voulut l'y surprendre et l'enlever; mais Crillon était avec son rei, Les ligueurs attaquent le faubourg avec furie; Crillon soutient le combat pendant six heures ; mais il n'opposat que des forces trop inégales; enfin, les ligueurs pénètrent jusqu'au pont. Henri avait retrouvé dans ce jour de

(1) Cependant, on lit dans le Journal de l'ltoile que Crillon fut accusé, avec les mare bas d'Aumont et de Biron, avec Ré.ol, secrétaie de ta:, et plusieurs cutres, d'avoir été complice meurtre des Guises, et qu'en 1589, la duction douairière les fit citer par trois trompettes, dat les carrefours de Paris, à comparoir en la Coc•{ ciergeric du Palais.

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danger tout le courage de sa jeunesse; sil combattait avec ses soldats, « Brave cik » Crillon, s'écrin-t-il, c'est de vous » seul aujourd'hui que depend le sort Ha» de votre malhonreax roi ». Grillon fit des prodiges. Engagé dans la mêlée, le roi allait perir d'un coup de pertuiade sanue. Un jeune guerrier se précipite devant lui, reçoit le coup mortei, et tombe aux pieds de son maître qu'il a sauvé: 'etait le chevalier de Berton, neveu de Cridon. Le pont allait être enlevé; les troupes de Mayeune se renforçaient sans cesse; Crillon n'avait To qu'une poignée de soldats. Couvert de son sang et de celui des ennemis, ne pouvant plus se défendre contre le nombre se retire en fremissant, vers la tête du pout; il en tient la porte entrony rte, fait rentrer ses gens, reçoit deux coups d'épée et une balle à travers le corps, passe le dernier et referme la porte. Le combat continuait encore avec a harnement, lorque les troupes du roi de Navarre arrivent, et Mayenne est forcé de se retirer. Ainsi l'on vit, dans cette famense journée, un Crillon sauver la Vie à son roi, et un antre Crillon lui sauver la couronne. Celui-ci, en com

battant pour le roi de France, avait aussi combattu pour le roi de Nivarre. était dangereusement blessé ; les deax rois le vistèrent, et il reçut de ouchants témoignages de leur amitié. "est alors que le roi de Navarre dit s paroles mémorables qu'on lai enen hit rejeter lorsqu'il fu monté sur trone de France: « Je n'ai jamais craint que Grillo: »; et lorsqu'il int prendre congé de lui, pour alavec Henri 11 mettre le siege evant Paris : « Adien, mon Brave, ini dit-il; comptez toujours Sr Lamitie de Heari ». Après la t du dezier de V dois (1589), lenn i se hata d'écrire à Crillon:

« Parmy la presse de mille et mille af>>faires si aurez-vous ce mot de ma » main pour vous assurer combien » je prise l'affection que vous m'avez » toujours gardée. Vous aurez beau» coup de regret à notre commune » perte. Vous avez perdu un bon » maistre; mais vous éprouverez que » j'ay succédé en la volonté qu'il vous » poitoit. Adieu brave Crillon. » Le premier combat que Henri livra au duc de Mayeune fut celui d'Arques en Normandie. Le roi vainqueur écrivit sur le champ à Crillon ce bidet si fameux: «Pends-toi, brave » Crilon, nous avons combattu à » Arques et tu n'y étais pas. Adieu, » brave Crillon, je vous aime à tort et » à travers. » Bientôt la Normandie fut conquise. Ii ne restait aux ligueurs que la place de Honfleur; mais elle était défendue Gérard Balbe Ber

par

ton, commandeur de Malte, et frère de notre héros. C'était un guerrier intrépide, rempli d'honneur, et la ligue se glorifiait d'avoir aussi son Grillon. Henri assiégea Honfleur; il fit offrir au commandeur le bâton de maréchal; mais il ne put le détacher d'un parti où il croyait sa religion intéressée. Cependant Henri écrivit deux lettres à Crillon pour l'assurer « de plus en » plus de la continuation de son ami>> tie.» I vint deux fois à Tours pour le visiter. Enfin, Crillon convalescent, après dix-huit mois de danger, alla rejoindre son maitre, et sur-le-champ Henri s'avança dans les plaines d'ivri. Crillon combattit en héros à l'aile gauche de l'armée, et ensuite au centre pour veiller de plus près sur la personne du roi. Le siege de Paris ayant été résolu, il fut chargé d'occuper le faubourg St. - Honore; ce n'était pas le poste le plus facile, et il fut le premier enlevé. Crillon s'était fortifié dans le quartier des Tuileries, lorsque

le duc de Parme, s'avançant avec une armée considérable, fit lever le siége. Crillon suivit alors Henri devant Rouen. Le maréchal de Biron fit, dans le siége de cette ville, des fautes qu'il voulut imputer à Crillon. Il alla jusqu'à dire qu'il avait quitté son poste. Frémissant de rage, ce dernier court chercher le maréchal, le trouve chez le roi, et la présence de son maître ne peut réprimer les mouvements de sa colère. Henri lui ordonne de sortir; il obéit avec peine, et revient plusieurs fois à la porte en jurant et blasphémant. Le lendemain, plus calme, il s'aperçoit qu'il a manqué à son roi; il va le trouver et se jette à ses pieds. Henri le relève et l'embrasse. « Je >> vous aime, dit-il, vous le savez >> bien; mais le maréchal est un grand » homme de guerre. On le sollicite » sans cesse de changer de parti, je » dois le ménager. Je veux qu'il vous » rende son amitié, il me l'a promis; > j'exige que vous lui rendiez la vôtre, » et que tout soit oublié. Vous m'êtes » chers, et l'un et l'autre nécessaires; » je veux vous conserver. » Dans ce moment Biron entre, et les deux guerriers s'embrassent. Peu de jours après Crillon se jette dans une barque chargée de provisions, et entre dans Quillebeuf qu'assiégeait André de Villars. La place n'était défendue que par quarante-cinq soldats et dix gentilshommes. Villars la somme de se rendre, en représentant que, n'ayant ni fortifications, ni munitions, ni garni son, elle ne peut arrêter une armée. Le héros répond: « Villars est de>> hors, et Crillon est dedans. » Villars, que ce mot offense, ordonne l'assaut. Crillon présent partout excite le conrage, multiplie la résistance, taille en pièces les soldats qui pénètrent dans la ville, précipite les autres du haut des remparts, et le siége est levé. C'est

en ce jour mémorable qu'il justifia cette réponse hardie « qu'une place » défendue par Crillon ne se rendait » que par composition. » — « Je suis » très aise, lui écrivit alors Henri, que » l'issue du siége de Quillebœuf ait été » telle que je m'étais promis; car sa>> chant que vous y étiez entré, je » m'assurai bien que mes ennemis n'acquerraient que de la honte. » Adieu, brave Grillon; Dieu vous ait » en sa sainte garde, pour l'amour de >> vous et pour l'amour de moi. » Après que Henri eût été sacré roi, il ne songea plus qu'à acheter ses sujets rebelles par ses bienfaits. Il ne fit rien pour Crillon. » J'étais sûr du brave » Crillon, disait-il dans la suite, et » j'avais à gagner tous ceux qui me » persécutaient. » Mais Crillon, toujours désintéressé, se trouvait assez payé par l'amitié de son roi. Il se distingua encore au siége de Laon. Lorsque Libertat eût délivré Marseille de la tyrannie des duumvirs, Crillon entra dans cette ville avec le jeune duc de Guise, nommé gouverneur de Provence. Une flotte espagnole croisait devant le port, lorsque Guise et quelques jeunes seigneurs imaginèrent de faire à Crillon une plaisanterie bien deplacée. Ils entrent brusquement à minuit dans sa chambre; ils l'éveillent et annoncent que tout est perdu, que les Espagnols sont maîtres du port, et occupent les principaux postes de la ville. Guise propose alors à Crillon de se sauver avec lui; mais Crillon répond, sans s'émouvoir, «qu'il vaut bien »mieux mourir les armes à la main que » de survivre à la perte de cette place. Il s'arme à la hâte, sort de sa chambre, et il descendait l'escalier, lorsque le duc éclate enfin de rire. « Jeune >> homme, lui dit Grillon, d'une voix » forte et sévère, en lui serrant le » bras, ne te joue jamais à sonder

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>> le cœur d'un homme de bien. Har» nibieu (c'était son juron ), si tu » m'avais trouvé faible, je te donnerais de mon poignard dans le cœur.>> Après la prise d'Amiens (1597), et l'anéantissement de la ligue, Crillon commanda (1600) une armée en Savoie. Il prit le fort de l'Ecluse, Chambéri, Montmélian, plusieurs autres places, et Henri, dans son enthousiasme, le surnomma le brave des braves. Sully, dans cette campagne, commandait l'artillerie. Un jour que Crillon était auprès de lui, dans une prairie à la portée du canon du fort d'Aiguebelle, qui tirait sans relâche, et que Sully paraissait vouloir attendre la chute du jour avant d'aller reconnaître où il pourrait dresser une batterie. « Quoi morbleu, dit le hé»ros, craignez-vous les arquebusades » en la compagnie de Crillon ! Allons » jusqu'à ces arbres; nous reconnaî» trons de la plus aisément. - Eh » bien allons, répond Sully en riant; nous jouons à qui se montrera le » plus fou; mais vous êtes le plus vieux; je veux faire voir aussi que » vous êtes le plus sage. » Alors Sully prit Crillon par la main, et le mena si loin encore au-delà des arbres, qu'en tendant le plomb siffler, il dit : « Ga»gnons cette rangée d'arbies et ces » haies, car je vois bien que vous êtes » un bon compagnon, et digne d'être grand maître je veux être toute » ma vie votre serviteur, et que nous » fassions une amitié inviolable. Ne » me le promettez-vous pas?» Sully mit sa main dans celle de Crillon, et ces deux grands hommes, qui s'estimaient sans s'aimer, confondirent dès ce jour leur estime et leur amitié. La paix fut signée avec la Savoie, et bientot après Henri se rendit à Lyon, pour y recevoir Marie de Médicis. C'est dans cette ville qu'entouré des

grands de sa cour et des ministres étrangers, Henri dit, en mettant la main sur l'épaule de Crillon : « Mesa sieurs, voilà le premier capitaine » du monde.-Vous en avez menti, » sire, répondit vivement Crillon; je » ne suis que le second; vous êtes le » premier. »Henri voulut plusieurs fois lui donner le bâton de maréchal, mais il en fut détourné par la duchesse de Beaufort, que Grillon et Sully empêchaient d'être reine, et ensuite par la marquise de Verneuil, qui trouvait dans Crillon un censeur trop sévère. Nourri dans les camps, né pour les combats et pour la gloire, il ne pouvait se plaire à la cour. D'ailleurs, son âge et ses infirmités, suite de tant de blessures, lui faisaient desirer le repos. Dès qu'on sut qu'il allait se retirer, l'ambition s'éveilla. D'Espernon et Créqui désiraient son régiment des gardes. Crillon crut que le roi cherchait, dans cette occasion, á gêner sa liberté : « Vous voulez, » lui dit-il, disposer de ma place, et » moi, parce que vous le voulez, je ne » veux la céder qu'à celui 'que j'en » croirai le plus digne;» et ce fut Créqui qui l'obtin!. Alors Crillon se retira dans sa patric. Cet homme, si grand dans les combats, ne fut plus qu'un citoyen simple et modeste. Quand il apprit la fin déplorable de son maître chéri, la douleur le plungea dans un état mélancolique qui ne finit qu'avec sa vie. On ne l'entendit plus prononcer le nom de Henri sans le voir répandre des larmes. Il partageait sa fortune avec les pauvres, leur faisait distribuer secrètement mille livres par mois, et ses aumônes publiques étaient aussi considérables. It s'était dépouillé, pour les rendre à l'église, de quatre évêchés qu'on lui avait donnés pour récompense de ses services. Il avait trouvé dans la religion

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