Histoire de France: depuis l'établissement de la monarchie jusqu'au regne de Louis XIVChez Desaint & Saillant, 1770 - 30 Seiten |
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affemblé affez affiégés affuré ainfi auffi avoient avoit Bukam c'eft caufe ceffe Charles Charles VII chofes comte de Richemont confeil conferver confidérable connétable d'Alençon d'Angleterre d'Orléans dauphin deffein déja devoit duc d'Alençon duc de Bed duc de Bedfort duc de Bour duc de Bourgogne duc de Bretagne duc de Gloceftre duché de Normandie efpeces ennemis époufe étoient étoit faifoit faint falloit falut fans fe rendit fe trouva fecond fecours feigneurs feroit fervir feul fiecle fiege fils le roy foit fomme fon frere fous fouverain François fuccès fuite fuivant fujets garnifon gleterre glois gogne Henri Henry roy Ibid Idem Item Jeanne jufqu'à juftice l'églife laiffé maifon ment Monftrelet monnoies n'avoit n'étoit néceffaire néceffité noftre noftredit fils obferver paffa perfonne plufieurs pouvoient pouvoit préfent prefque premiere prife prifonnier prince provinces Pucelle refte régent Reims rent roy Henry royaume s'étoient tems tion treve troupes
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Seite 435 - Les habitants de Greux et de Domremi n'ont cessé de jouir de cette concession jusqu'à l'époque de la révolution. Après le couronnement, les villes de Laon , de Neufchâtel, de Soissons, de Crespi , de Compiégne, de La Ferté-Milon, de Château-Thierry, de Creil , de Coulommiers, et une infinité d'autres places , tant de la Brie que de la Champagne , se rendirent au roi ou à ses généraux. Beauvais chassa son...
Seite 199 - ... qu'on fixe la première altération des Monnaies. Ce Monarque fit frapper des espèces d'argent , altérées par un tiers d'alliage en cuivre. L'altération fut poussée, sous les règnes suivants, jusqu'à moitié. Dès lors, le nom de Livre devint fictif aussi bien que celui de Sol. En insérant un tiers de cuivre dans une Livre de douze onces de métal, il ne devait plus y entrer que huit onces d'argent pur.
Seite 99 - France depuis rant de fiecles, & qui lui a donné dans tous les tems des marques fi éclatantes de fa protection , ne lui fera pas moins favorable à l'avenir, & que la faifant durer autant que la Monarchie...
Seite 217 - Se par ce moyen ufurpe une prérogative deftinée pour accélérer les opérations du commerce , & non pour favorifer l'ufure & la diffipation. Seroit-ce un objet indigne de la bonté paternelle du prince , de l'attention du gouvernement , des foins éclairés de nos magiftrats , de la vigilance de notre police , de réprimer ces défordres honteux par des réglemens qu'il ne fût pas...
Seite 113 - France :' et si aucun n'ose regarder celui à « qui il parle, on le tient pour mauvais homme et « traître: et pour Dieu , ne vous en déplaise.—Ce nest « pas notre guise » , répliqua froidement le roi d'Angleterre.
Seite 464 - Le premier nombre fut fixé à trente-un, savoir, trente chevaliers et le grand-maître; à présent il n'est plus limité. Au premier chapitre, le duc ne reçut que vingt-quatre chevaliers,; le nombre des trente ne fut rempli que dans les chapitres suivants.
Seite 99 - ... bonté le malheur qui avoit été l'objet de la prévoyance du feu roi. Mais si la nation française éprouvoit jamais ce malheur, ce seroit à la nation luêmë'cjt1'il appartienD'AGUESSEAU, CHANC., GARDE DES se.
Seite 214 - ... d'aller. Quelquefois , au lieu de les acquitter en argent , ils donnoient des cédules ou billets pour en recevoir la valeur des mains du -changeur d'une autre ville. C'eft vraifemblablement à; cet ufage qu'il faut rapporter l'origine de nos lettres de change , qui procurent au commerce une activité dont il n'étoit pas fufceptible avant leur introduction.
Seite 100 - Couronne , nous faifons gloire de reconnoître qu'il nous eft encore moins libre de difpofer de notre Couronne même : nous fçavons qu'elle n'eft à nous, que pour le bien & pour le...
Seite 29 - Et après qu'il eut proposé la charge à luy baillée , iceluy prestre dit au roy : « Princes et seigneurs , » il m'est enjoint par les habitants de la ville de » Rouen à crier contre vous , et contre vous , sei...