Revue de Paris

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Louis Désiré Véron
Bureau de la Revue de Paris., 1836

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Beliebte Passagen

Seite 32 - ... qu'il fallait faire retentir la parole sainte dans toute la force de son tonnerre , et placer avec moi dans cette chaire , d'un côté la mort qui vous menace, et de l'autre mon grand Dieu qui vient vous juger.
Seite 32 - Qu'ai-je fait, malheureux ! j'ai contristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu ; j'ai porté l'épouvante et la douleur dans ces âmes simples et fidèles que j'aurais du plaindre et consoler. C'est ici , où mes regards ne tombent que sur des grands, sur des riches, sur des oppresseurs de l'humanité souffrante, ou...
Seite 172 - ... à la Cour , que le Roy luy eust donné et quité tous lesdits deniers, à quelque somme qu'ils eussent pu monter, en faveur d'une personne (>) que je ne puis et ne veux nommer, qui estoit auprès de Sa Majesté ei^ telle authorité et respect , qu'en un besoin elle eust fait succomber le mesme connestable ; de quoy il n
Seite 32 - Eh ! qu'ai-je besoin de vos suffrages qui me damneraient peut-être sans vous sauver? Dieu va vous émouvoir, tandis que son indigne ministre vous parlera ; car j'ai acquis une longue expérience de ses miséricordes.
Seite 31 - A la vue d'un auditoire si nouveau pour moi, il semble, mes frères, que je ne devrais ouvrir la bouche que pour vous demander grâce en faveur d'un pauvre missionnaire, dépourvu de tous les talents que vous exigez quand on vient vous parler de votre salut.
Seite 1 - C'est un devoir De le pourvoir. On veut le voir, Venir le soir, Précédé de sa crosse, Et le matin , Chez sa catin, Arriver en carrosse. Pour...
Seite 32 - C'est devant votre Dieu et le mien que je me sens pressé, dans ce moment, de frapper ma poitrine. Jusqu'à présent j'ai publié les justices du TrèsHaut dans des temples couverts de chaume; j'ai prêché les rigueurs de la pénitence à des infortunés qui manquaient de pain ; j'ai annoncé aux bons habitants des campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion.
Seite 157 - de Bonnivet, qui pense estre beau ; et tant plus je
Seite 82 - Bouillon est preux et vaillant, II aime la Guerre; A tout autre amusement Son cœur la préfère; Ma foi, vive un chambellan Qui toujours s'en va disant : Moi, j'aime la Guerre, ô gué, Moi, j'aime la Guerre. Au sortir de l'opéra Voler à la Guerre, De Bouillon (qui le croira ?) C'est le caractère; Elle a pour lui des appas Que pour d'autres elle n'a pas.

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