Abbildungen der Seite
PDF
EPUB

vache en peut fournir, 46.—
Soins
particuliers qu'exige l'o-
pération de la traite, 47.De
leurs fromages, 66.

Varech. Plante dont on obtient
la soude par l'ignition; sa cul-
ture; est un excellent engrais
végétal, III, 159.
Vaude (Voy. Gaude.)
Veaux. Soins qu'ils exigent, se-
lon qu'ils sont destinés au bou-
cher ou à la charrue, I, 226.
-Colique à laquelle ils sont
sujets en naissant; moyens cu-
ratifs, 227.
Leur éducation,
228. Nombre de plantes qui
leur conviennent, 262. Em-
ploi de leurs peaux, 288.

[ocr errors]

De leurs boyaux, 291. Vélin (du) et de son emploi, I,

288.

Vendange. Temps et manière de vendanger, III, 311. De la fermentation, 312. Manière de la bien gouverner, 313. Du foulage, ibid. — Du décuDu vin de presvage, 314. surage, 315. De l'asphyxie, 316. Vergers. Doivent être placés auprès des habitations, et pourquoi, II, 468. Et clos, 469.

Leur formation, 471. Vermine. Moyen qu'on emploie dans le Nord, pour s'en préserver, 1,305.

Vermouth. Liqueur stomachique, sa composition, II. 309. Vernis (recette et emploi des) d'ambre, ou véritable chinois, II,371.-De peintre, 372, - D'or

Blanc de Spa, idem. des Anglais, 382. Verrat. Sa description, I, 264. Doit être séparé de la truie pleine, et pourquoi, ibid. Verre (du) et de ses diverses sortes, I, 42.-De son nettoyage, 61. Recette pour le rescel

ler, II, 377.

Verrues. Remède pour leur guérison, I, 375.

Vers à cire. Elevés sur des arbrisseaux en Chine, I, 399. Vers à soie. De leur éducation, de leurs travaux, I,.401 et suiv.

Leurs métamorphoses, 405. Température qui leur convient, 407. — A quoi on reconnoît que leur grame peut produire avantageusement, 498. Manières de la faire éclore, 411. Leur nourriture, 415. Leurs mues, 416. Soins qu'exige leur gouvernement, 417.Maladies auxquelles ils sont sujets, 419. Vert-de-gris (du), et remède contre ce poison, II, 288. Vertigo. Maladie des chevaux I, 212. Moyens curatifs,

*

[ocr errors]

Par

ibid. Vésicatoires. De leur application et de leur pansement, II, 205. Viande. Moyen de la désinfecter, II, 380. Sa conservation par le charbon, III, 243. les truffes, 252. Vie champêtre (tableau des douceurs de la), I, 167. Vigne. La trop grande quantité est souvent à charge, I, 18. Durée de son existence, III, 285. Son bois regardé comme indestructible par les anciens; son usage, ibid. Diverses opérations qu'elle exige, leur explication, 286 et suiv, Avantages que présente la vi-, gne mise en perches, qu treille, ibid. Jamais on n'y doit toucher quand elle est en fleur, 287. Inconvéniens de la fumer avec du mauvais fumier, 289. Villin (l'abbé), inventeur des paniers de paille pour conserver le blé, III, 40.

[ocr errors]

Vin. Danger de l'usage du vin sophistiqué par la lifarge, II, 289. Moyens de le rafraichir sans glace, 386. - D'où

[ocr errors]

xliv

TABLE DES MATIERES.

--

Će que c'est

proviennent la dureté et le goût désagréable de celui qu'on recueille aux environs de Paris, III, 289.-Moyens employés pour le conserver et l'amélio- Opérations de rer ?..290. l'ouiller, de le tirer au clair et au clair fin, 291. — Qualités nouvelles qu'il acquiert par Du la clarification, 292. soufrage, 203. que le vin muet, 293. ration du soutirage, ses avanPrécautions tages, 296. qu'elle exige, 297. Du collage, 298. Emploi de la colle de poisson, des blancs d'oeufs ou de la gomme arabiProcédé pour la que, 299. clarification du vin troublé par la lie, 300. Vaisseaux et lieux dans lesquels il se conserve et s'améliore, 301 et suiv.

[ocr errors]
[ocr errors]
[ocr errors]
[ocr errors]

Opé

Des maladies du vin et de sa dégénération, 304. —Précautions qu'exigent les vins déliDe la cats et fins, ibid. " graisse et de l'acidité, 305 et suiv. Comment on peut reconnoître dans le vin la sophistication de la litarge, 309. Recettes diverses pour corriger l'acidité des vins, ibid. et suiv.

- Du goût de fût, 310.-De l'amertume et des fleurs de vin,

[blocks in formation]

-

et

poser, I, 310. -Leurs maledies, 313. Volnis. Après une expatriation de dix ans, revient en France avec sa famille, I, 1. — Sensations qu'il éprouve à son retour dans ses terres, ibid. et suiv. — Retrouve des serviteurs fidèles et des cœurs reconnoissans, 6. Souvenirs des deux époux, 8 et suiv. Veulent désormais s'établir à la campagne, cultiver leur propriété, 12. — Lecture d'une nouvelle maison rustique composée pour l'éducation de leurs enfans, 16 et suiv. Eloge qu'il fait de la vie champêtre, 167. avec toute sa famille, au-devant de son ancien curé revenant d'une terre étrangère, II, Construction de la chapelle et rétablissement du village, ibid. et suiv. Ses réflexions sur le voisinage et la considération en province, 167.

2.

[ocr errors]
[ocr errors][merged small][ocr errors][merged small][merged small]

Autres sur les changemens survenus dans la pratique de la médecine, 176 et suiv. Autres sur la dignité et l'utilité de l'agriculture, 390. Son en

[ocr errors]

trée et celle de sa famille dans le château nouvellement bâti et meublé, III, 1 et suiv.-Réunion de toute sa famille, 434 et suiv.

Vomissement. Moyens de l'arrê308. ter, II, Yeux. Opération de la cataracte, II, 235. Découverte de M. Daniel à ce sujet, 236. — Recette pour les yeux, 321. Zanetti. (le docteur) Cité, II,

315.

268. Zell. (le docteur) Cité, II,

FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.

NOUVELLE

MAISON RUSTIQUE,

POUR SERVIR

A L'ÉDUCATION DE LA JEUNESSE.

CHAPITRE PREMIER.

Retour en France d'une famille émigrée.

APRÈS une expatriation de dix années, Volnis qui, jadis possesseur d'une grande fortune, occupoit un rang distingué à la cour, rentra en France en 1801, avec Elmire sa femme, et ses deux enfans, Charles et Julie, le premier âgé de quinze ans, et la seconde de seize. Volnis se rendit d'abord à Paris, pour y terminer quelques affaires; ensuite, ayant recouvré une terre qu'il possédoit en Bourgogne, il partit avec sa famille pour aller s'y établir et s'y fixer, En arrivant dans cette terre autrefois si belle et si bien cultivée, Volnis éprouva les sensations les plus douloureuses; c'étoit là que, né dans l'opulence et la grandeur, il avoit avec con

fiance, avec délices, jeté ses premiers regards sur l'impénétrable avenir, et fait les premiers rêves de l'ambition : chaque pas lui présente une affligeante réalité, remplaçant une douce illusion pour jamais anéantie. Chaque souvenir produit au fond de son âme un regret déchirant. La mélancolie qu'il voit empreinte sur les traits de sa compagne, et l'étonnement pénible et naïf de ses enfans, mettent le comble à sa tristesse. Durant les misères de l'exil et les amertumes de l'expatriation, il n'avoit pu s'empêcher de parler souvent à ses enfans de sa fortune passée; combien de fois il leur a dépeint avec complaisance cette somptueuse habitation, ces majestueuses avenues, ces bois dont il ne reste plus de vestiges, ce magnifique château, dont les ruines même n'existent plus! Combien il leur a vanté l'amour de ses vassaux, et l'aisance de ce village, qui n'est plus maintenant qu'un amas de masures abandonnées! car l'intolérance et les persécutions de l'impiété, ont, dans le temps de la terreur, fait déserter les malheureux habitans!...... La foi s'étoit conservée pure dans ce canton, dont les possesseurs, depuis près de deux cents ans, avoient constamment donné l'exemple de toutes les vertus chrétiennes. Le bon curé, forcé d'abandonner les dons offerts successivement par les seigneurs

de ce lieu, les ornemens, les tableaux de son église, et de les livrer à la cupidité des tyrans, voulut du moins dérober à leur rage insensée le calice confié à sa garde, et, pour le sauver, il prit la fuite, chargé de ce précieux dépôt. A l'abri de l'oppression, il n'oublia point, sur un rivage étranger, que l'offrande la plus agréable au rédempteur est le sacrifice généreux de tout ressentiment: en célébrant les saints mystères, en tenant dans ses mains le vase sacré qu'il avoit préservé d'une horrible profanation ce vase rempli du sang d'un Dieu qui s'immola pour racheter tous les hommes, le digne pontife de Jésus-Christ pria toujours pour ses persé cuteurs et pour le salut de sa patrie. Les habitans de sa paroisse, privés de leur seigneur, de leur saint pasteur et de l'exercice de leur culte, abandonnèrent le village qui les avoit vu naître; ils traversèrent en pleurant les champs fertilisés par eux, et dont des mains impies et sanguinaires devoient recueillir la récolte; que de travaux perdus !........ Mais la troupe fidèle emportoit avec elle des trésors plus précieux que tous les biens de la terre: la piété, l'innocence, des mœurs, des bras robustes et l'amour dů travail. Cependant une seule ancienne habitation subsiste encore au milieu de ces débris, c'est celle du fermier..... Ce vieux serviteur est encore

« ZurückWeiter »