| 1843 - 948 pages
...toute l'instruction, et piéleudail se servir de celle science comme de la forme la plus heureuse cl la plus sûre pour développer et diriger l'esprit...l'enfance. Le Père Girard , qui estimait les innovations ingénieurs cl le zèle créaleur de Peslalozzi, lui fjisail cependant un jour quelques giaves objections... | |
| Villemain (M., Abel-François) - 1846 - 416 pages
...exagérant une idée de Locke , voyait dans les mathématiques le fond de toute instruction, etprétendait se servir de cette science comme de la forme la plus...Je « veux , répondait Pestalozzi dans son ardeur d'exacti« tude , que mes enfants ne croient rien que ce qui « pourra leur être démontré comme... | |
| Villemain (M.) - 1850 - 412 pages
...instituteur célèbre , Pestalozzi , exagérant une idée de Locke , voyait dans les mathématiques le fond de toute instruction, et prétendait se servir de...Je « veux , répondait Pestalozzi dans son ardeur d'exacti« tude, que mes enfants ne croient rien que ce qui « pourra leur être démontré comme deux... | |
| Académie française - 1850 - 538 pages
...instituteur célèbre , Pestalozzi , exagérant une idée de Locke , voyait dans les mathématiques le fond de toute instruction, et prétendait se servir de...principe dominant de sa méthode. « Je veux , répondait Pes« talozzi dans son ardeur d'exactitude, que mes enfants ne « croient rien que ce qui pourra leur... | |
| 1850 - 632 pages
...Pestalozzi, exagérant uneidéede Locke, voyait dans les mathématiques le fond de toute l'instruction, et prétendait se servir de cette science comme de...pour développer et diriger l'esprit de l'enfance. Je veux, disait-il, dans son ardeur d'exactitude, que mes élèves ne croient rien que ce qui pourra... | |
| Villemain (M., Abel-François) - 1873 - 426 pages
...instituteur célèbre , Pestalozzi , exagérant une idée de Locke, voyait dans les mathématiques le fond de toute instruction, et prétendait se servir de...de la forme la plus heureuse et la plus sûre pour déve-" lopper et diriger l'esprit de l'enfance. Le père Girard, qui estimait les innovations ingénieuses... | |
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