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obtint enfin la permission de se livrer entièrement à l'exécution des vastes projets qu'il avait conçus, et auxquels i consacra le reste de sa vie sans pouvoir les terminer. Il mourut à Paris le 25 mars 1667 dans sa Goo. année. Le P. Labbe était doué d'une vaste mé

maté des Blancs-Manteaux à Paris. Transféré, en 1792, à celle de Saint Deats, qui fut supprimée peu après, E se fixa dans cette ville chez des personnes charitables, et y vécut dans La retraite, jusqu'à ce que les temps étant devenus plus calmes, il se livra, qucique âgé, à l'exercice du minis-moire et d'une activité extraordinaire:

tère. Il mourut, le 10 avril 1805, des suites d'une incommodité qu'il avait contractee, pendant l'hiver précédent, en accompagnant souvent les convois au cimetière, étant alors le seul pretre qui ne fût pas atteint d'une espece d'épilémic. On peut consulter sur dom Labat, son Eloge historique, publié, peu après sa mort, par un de ses confrères. Seulement on est fa hé que l'auteur, homme fort estimable d'ailleurs, ait pris soin de faire extendre que son ami était fort attaché à un certain parti: ce dont il le loue baucoup. Il n'est pas moins affecté dans les eloges qu'il accorde à la communauté des Blancs-Manteaux, dont la destruction ne fut ni plus injuste, ai plus fâcheuse que celle de tant de masons pieuses et utiles qui furent enveloppées dans une ruine com

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LABAUME. Voyez ACHARDS, BAUME et GRIFFET LABAUME. LABAUNE (JACQUES DE). Voy. BAUNE

LABBE (PHILIPPE), l'un des jésuites français les plus laborieux, et, après Petau, celui dont les travaux ont été les plus uties à l'histoire, naquit à Boarges le 10 juillet 1007. Il entra dans la société à l'age de seiz ans, et rafessa qulque temps la rhetorique, philosophie et la théologie daus differents colleges. Appelé à Paris par ses superieurs, il continua d'enseigner la theologie pendant deux ans ; mais il

L'

quoique ses ouvrages ne soient guère que des compilations, on n'est pas moins surpris qu'il ait publié un si grand nombre de volumes. Ses amis le représentent comme un homme d'un caractère doux et d'un commerce sûr; cependant on ne peut se dissimuler qu'il aimait la dispute. On lui reproche aussi d'avoir, dans toutes les occasions, parlé des protestants dans des termes injurienx; et si on peut l'excuser à cet égard, ce n'est qu'en disant qu'il ne faisait que suivre l'esprit de son siècle, peu porté à la tolérance. Il paraît assez inutile de rappeler ici les titres de tous les ouvrages du P. Labbe, puisqu'il en a donné luimême deux fois la liste, et qu'on la retrouve dans la Biblioth. S. J. du P. Sotwel, dans les Mémoires de Niceron, tom. xxv, et enfin dans le Dictionnaire de Moréri. Elle comprend soixante-quinze articles, dont voici les principaux: I. Pharus Galliæ antiquæ ex Cæsare, Hirtio, Strabone, Plinio, Ptolemæo, itinerariis, notitiis, etc., Moulins, 1644, in - 12. C'est une critique aussi amère qu'injuste de la Description de la Gaule, par N. Sanson, à qui Labbe avait cependant emprunté ce qu'il y a de mieux dans son ouvrage. Le géographe, irrité d'un pareil procédé, publia de son côté des Observations sur quelques parties du Pharus, où il releva plus de quatre cents fiutes, et il annonçait une suite de cet examen; mais le chancelier Séguier, à la prière des jésuites, manda les deux adversaires et les obli

gea de se réconcilier(V. Nic. SANSON). Le P. Labbe avait préparé une nouvelle édition de son ouvrage; mais elle n'a point paru. II. Discours historique touchant le mariage d'Ansbert et de Blitilde, Paris, 1647, in-4°. Il y soutient, contre l'opinion de Chautreau-Lefèvre, la vérité de ce mariage, contestée par nos meilleurs historiens. III. Histoire du Berri abrégée dans l'Éloge panegyrique de la ville de Bourges, ibid., 1647, in-12. IV. De historiæ Byzantinæ scriptoribus publicandis protrepticon, ibid., 1648, in-fol. C'est le plan de la précieuse collection connue sous le nom de Byzantine, et la liste des auteurs qui devaient y entrer; on doit convenir que le P. Labbe, en en déterminant la publication, a rendu un service important à l'histoire. C'est lui qui a donné l'édition des Annales de Glycas (Voy. ce mot), et la Notitia dignitatum imperii romani, Paris, 1651, in-12, qui fait partie de cette collection (1). V. L'Abrégé royal de l'alliance chronologique de l'histoire sacrée et profane, ibid., 1651, 2 vol. in-4°. Le second volume renferme des pièces intéressantes pour l'histoire de France. VI. La Clef d'or de l'histoire de France, ou Tableau généalogique de la maison royale, ibid., 1652, in-12. VII. Aristotelis et Platonis Græcorum interpretum typis hactenùs editorum brevis conspectus, ibid., 1657, in-4°. C'est le programme d'un grand onvrage qu'il promettait, sous le titre d'Athenæum philosophicum, et qui devait contenir beaucoup de choses curieuses sur l'histoire de la philosophie chez les Grecs et les Romains. VIII. Nova bibliotheca manuscriptorum, ibid., 1657, 2 vol. in

(t) Pour le détail des ouvrages qui composent la

Byzantine, ou peut consulter l'excellent Manuel du Libraire, par M. Brunet.

fol. C'est un recueil de pièces historiques assez intéressantes, et la plupart inédites. L'Abbé Lenglet en a donné la liste dans le catalogue à la suite de sa Méthode pour étudier l'histoire. Il ne faut pas confondre cet ouvrage avec le Nova Bibliotheca mss. librorum sive Specimen antiquarum lectionum, que Labbe avait publié en 1653, in-4°., de 530 pages : c'est un recueil de catalogues de manuscrits, peu consulté depuis que Montfaucon en a publié un beaucoup plus ample. Cependant celui du P. Labbe n'est pas sans mérite, et l'on assure qu'on y trouve sur les manuscrits de la bibliothèquedu Roi des choses qui ne sont pas dans le catalogue imprimé en 4 vol. in-fol. IX. Cl. Galeni Vita ex propriis operibus collecta atque intervallis quatuor distincta, Paris, 1660, in-8°. Cette Vie de Galien est curieuse : le P. Labbe l'avait adressée à Gui Patin, qui la fit imprimer; mais n'étant pas satisfait de cette édition, il en publia une seconde la même année, avec des changements et quelques additions, sous ce titre: Cl. Galeni chronologicum elogium cum Jacobi Mentelli doct.med. epistola. Elle a été insérée par Fabricius, dans le tome 11 de la Biblioth. græca. C'est la source où ont puisé tous les écrivains qui, depuis Labbe, ont traité de Galien. X. De scriptoribus ecclesiasticis quos attigit card. Rob. Bellarminus philologica et historica dissertatio, ibid., 1660, 2 vol. in-8°. C'est une critique de la Bibliothèque des auteurs ccclésiastiques du card. Bellarmin; mais il a saisi cette occasion pour déclamer contre les plus fameux écrivains protestants, avec un emportement qui aurait nui à une cause moins bonne que celle qu'il soutenait. Le second volume est terminé par une dissertation assez estimée, Cenotaphium Johanna papissæ eversum.XI.

LAB

Leynologies de plusieurs mots fracos contre les abus de la secte des Naveaux hellenistes du PortBayal, ibid., 1661, in-12. C'est une que amère du Jardin des racines grecques. (Voy. LANCELOT.) Le P. labbe a publié d'autres livres de grammaire, suivis quelque temps dans s coleges et entièrement oubliés. XII. Bibliotheca bibliothecarum; acudit bibliotheca nummaria, ibid., 6. La meilleure édition de cette fographie, qui pourrait être plus ede et plus intéressante, est celle q'denée Ant. Teissier, avec des alias, Genève, 1686, in-4°. (V. TER) XIII. Le Chronologiste francais, ou l'abrégé chronologique de l'histoire sacrée et profane, ibid., 106,5 val. in-12. Cet ouvrage, dit Langit, est estimé, et l'on y trouve pe de choses à réformer sur la chrolage XIV. Concordia chronolo gica technica et historica, Paris, 100,5 vol. in-fol. Le P. Labbe n'a aapse que les quatre premiers volucomposé nes, qui fuissent à l'an 1200; le P. Brit, son confrère, continua l'ouvragjafan 600, et le termina par Abrigé de l'histoire du XVI. sied. Plusieurs critiques y trouvent beaucoup d'obscurité et peu d'utilité: mais Tabbé de Longuerue assure au contraire que c'est un excellent livre; il de sirait qu'on traduisit en français l'Ariade chronologica, qui est dans le premier volume, et qu'il regardait comme la meilleure introduction à la chroologie(XV. Thesaurus epitaphio ram veterum ac recentium, Paris, 1666, in-8°. de plus de 650 pag.; ou

(1) Suivant le même abbé de Longuerue, l'imprimeur Cramoisy, à qui Colbert avait fait préseat de l'édition, dépité de voir le livre tout entier dans sa boutique, en envoya trois cents exem plaires à la beurriere, après avoir eu la précaution d'oter trois feuilles de chaque volume, pour em plcher qu'on ne s'avisit de les racheter. (Voyes le Longueruana, ir, part., pag. 19.)

vrage curieux, distribué avec méthode
et suivi d'une ample table alphabétique
pour faciliter les recherches. XVI.
SS. Concilia ad regiam editionem
exacta, cum duobus apparatibus,
Paris, 1671-72, 17 tomes partagés
en 18 vol. in-fol. Cette collection des
conciles, faite sur l'édition de 1644
qui avait paru au Louvre en 57 vol.,
est beaucoup plus ample, et enrichie
des notes de l'éditeur. C'est la plus
complète et la plus correcte que nous
ayons. Le P. Labbe n'a publié que les
huit premiers volumes de ce grand
ouvrage; les autres ont été donnés
par le P. Cossart, qui a suivi le plan
de son prédécesseur. C'est le traité de
Dominique Jacobatius, De concilio,
qui forme le 18. volume de cette col-
lection, et il passe pour le plus rare.
On y joint aussi quelquefois le Clavis
disciplinae ecclesiastice seu Index
totius juris ecclesiastici, par Gude-
froi Hermant, Lille, 1693, in-fol.
L'édition des conciles du P. Labbe a
servi de base à celle du P. Hardouin;
mais comme ce dernier en a retranché
plusieurs pièces, et qu'il en a ajouté
d'autres, on les réunit ordinairement.
Une réimpression de la collection du
P. Labbe a été publiée à Venise, 1728,
25 vol, in-fol., par les soins de Nicol.
Coleti, qui y a inséré des notes et des
réflexions intéressantes; mais elle
fourmille de fautes. (Voy. COLETI,
IX, pag. 236.) Les suppléments de
Balnze et de Mansi se réunissent aux
différentes éditions (Voy. BALUZE et
MANSI).

W-s.

LABBÉ (CHARLES), jurisconsulte, né à Paris en 1582, annonça, dès son enfance, une ardeur extraordinaire pour l'étude; avant l'âge de vingt-quatre ans il avait déjà un nom parmi les savants, et il était en correspondance avec les hommes les plus distingués par leurs talents ou leur érudition.

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Labbé, écrivait alors le célèbre LABBE (PIERRE), jésuite, né e Scaliger, est un honnête jeune homine, 154, à Clermont en Auvergne, docte et infatigable. » Il se fit rece- tra dans la Société après avoir ter voir avocat au parlement, où il tint miné ses études, et y professa, pe un rang honorable, et mourut à Pa- dant vingt-trois ans, la rhétorique ris en 1657, dans sa soixante-seizième la philosophie et la théologie. Il f année. On cite de lui: I Une édition de ensuite recteur des maisons de sor 5dix Novelles de Justinien, corrigéés ordre à Arles, à Grenoble et d'après plusieurs manuscrits, eu gree Lyon, et mourut fort âgé dan et en latin (Constitutiones x Novella cette dernière ville, vers 1680. Ceri gr. lat.), Paris, 1606, in-8°. 11. Ob- tait un écrivain laborieux et fécond servationes et emendationes in Syno- mais très médiocre. Le P. Colonia psin Basilicon, ibid., 1606, in-8°. son confrère, l'a apprécié avec une I donna trois ans après, d'après le franchise assez remarquable. Som manuscrit de Gujas, le texte des livres » style, dit-il, est tout hérissé de 58 et 39 des Basiliques, qui n'avaient » pointes, et semé d'un bout à l'au pas encore vu le jour, 1609, in-foi. »ive de faux brillants; ses éloges Scaliger, à qui il avait adressé un de» sacrés et profanes, ses descrip ces ouvrages, lui écrivait: « La préface » tions, ses dissertations historiques, m'en a paru excellente; et beaucoup » ses divers poèmes, sont tous pétris de ceux qui font profession d'écrire » de raffinements et de subtilités: on 7 w'auraient pas si bien fait. »II. Cyril->> court après l'esprit ; et je dirais li, Philoxeni, aliorumque veterum » presque qu'on ne vit jamais tant glossaria latino græca et græco-la-» de lumière et si peu de raison. » tina collecta, cùm variis emendatio nibus. Il n'eut pas le temps de metire an jour cet immense travail, qu'il avait entrepris sur les instances de Jos. Saliger et d'Is. Casaubon. Il en légua le manuscrit à Ménage, et ce fat Ducange qui le publia, Paris, 1679, in fl. (V. Fabric. Bibl. græc., tom x, pag. 61, édit. de 1721.) On doit à Charles Labbé le Recueil des œuvres de P. Pithou, Paris, 1609, in-4°. I devait publier une édition latine de V'Imitation de J.-C. avec un Sommaire d'observations pour la restitution de ce livre à Jean Gerson, chancelier de Paris; mais l'on n'en connaît que le privilége du roi, de 1654, rapporté par Dupin dans le Gersoniana. Kief ker a consacré un article a Ch. Labbé dans sa Biblioth, eruditor. præcocium; son portrait a ete grave in-fel. per Bosse junior. W-s.

Gre

(Hist. litt. de Lyon, t. 1, p. 718.), On a du P. Labbé: 1. Carmen pane gyricum Ludovico XIII; cette pièce est relative à la prise de Casal. IL Vita et Elogia Ludovici XIII,novo lyrici carminis modo, Lyon, 1654, in-4°. III. Elogia sacra," theologica, philosophica, etc., noble, 1664, in-tol.; Leipzig, 1686, in-8.IV. Epistola historica de ortu et sitų primo Lugduni; nec non Dissertatio de itinere Annibalis, etc., Lyon, 1664, in-4". V. Epistola de antiquo statu Lugduni (Grenoble,166) in-8°. Ces deux lettres n'éclaircis sent pas la question que le P. Labbé s'était proposce (Voy. Menestrier Divers caractères des ouvrages historiques). Vi. Eustachius seu Placi dus heros christianus, poëma epicum, Lyon, 1675, in-12. VII. Lug duni veteris usque ad Lugdunum christianum historia, ibid. 1671,

Les Étymologies de plusieurs mots françois contre les abus de la secte des nouveaux hellenistes du PortRoyal, ibid., 1661, in-12. C'est une chaque amère du Jardin des racines grecques.(Voy. LANCELOT.) Le P. Labbe a publié d'autres livres de grammaire, suivis quelque temps dans Is colleges et entièrement oubliés. XII. Bibliotheca bibliothecarum; accedit bibliotheca nummaria, ibid., 1664. La meilleure édition de cette bibliographie, qui pourrait être plus exacte et plus intéressante, est celle qu'a donnée Ant. Teissier, avec des additions, Genève, 1686, in-4°. (V. TEISSIER.) XIII. Le Chronologiste francais, ou l'abrégé chronologique del histoire sacrée et profane, ibid., 1666, 5 vol. in-12. Cet ouvrage, dit Lenglet, est estimé, et l'on y trouve pen de choses à réformer sur la chrologie. XIV. Concordia chronologica technica et historica, Paris, 100, 5 vol. in-fol. Le P. Labbe n'a composé que les quatre premiers volumes, qui finissent à l'an 1200; le P. Bet, son confrère, continua l'ouvragrusqu'a l'an 1600, et le termina par un Abrégé de l'histoire du xvII. siec. Plusieurs critiques y trouvent beaucoup d'obscurité et peu d'utilité: mais Pabbé de Longuerue assure au contraire que c'est un excellent livre; il de sirait qu'on traduisît en français l'Ariadne chronologica, qui est dans le premier volume, et qu'il regardait comme la meilleure introduction à la chronologies.XV. Thesaurus epitaphio. rum veterum ac recentium, Paris, 1500, in-8°. de plus de 650 pag.; ou

* Suivant le même abbé de Longuerue, l'im

permear (ramoisy, a qui Colbert avait fait présas de leduses, dépité de voir le livre tout enfuer dans sa boul que, en envoya trois cents exem

vrage curieux, distribué avec méthode et suivi d'une ample table alphabétique pour faciliter les recherches. XVI. SS. Concilia ad regiam editionem exacta, cum duobus apparatibus, Paris, 1671-72, 17 tomes partagés en 18 vol. in-fol. Cette collection des conciles, faite sur l'édition de 1644 qui avait paru au Louvre en 37 vol., est beaucoup plus ample, et enrichie des notes de l'éditeur. C'est la plus complète et la plus correcte que nous ayons. Le P. Labbe n'a publié que les huit premiers volumes de ce grand ouvrage; les autres ont été donnés par le P. Cossart, qui a suivi le plan de son prédécesseur. C'est le traité de Dominique Jacobatius, De concilio, qui forme le 18. volume de cette collection, et il passe pour le plus rare. On y joint aussi quelquefois le Clavis disciplinæ ecclesiasticæ seu Index totius juris ecclesiastici, par Godefroi Hermant, Lille, 1693, in-fol. L'édition des conciles du P. Labbe a servi de base à celle du P. Hardouin; mais comme ce dernier en a retranché plusieurs pièces, et qu'il en a ajouté d'autres, on les réunit ordinairement. Une réimpression de la collection du P. Labbe a été publiée à Venise, 1728, 25 vol. in-fol., par les soins de Nicol. Coleti, qui y a inséré des notes et des réflexions intéressantes; mais elle fourmille de fautes. (Voy. COLETI, IX, pag. 236.) Les suppléments de Balnze et de Mansi se réunissent aux différentes éditions (Voy. BALUZE et MANSI). W-s. LABBÉ (CHARLES), jurisconsulte, né à Paris en 1582, annonça, dès son enfance, une ardeur extraordinaire pour l'étude; avant l'âge de vingt-quatre ans il avait déjà un nom parmi les sa

plares à la beurriere, après avoir eu la precaution Vants, et il était en correspondance der to fensiles de chaque volume, pour em peber quan se s'avisat de les racheter. (Voyez is Longueruana, 1", purt., pag. 19.)

avec les hommes les plus distingués par leurs talents ou leur érudition.

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