Bibliothèque Latine-Française, Band 113C. L. F. Pancoucke, 1834 |
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... sang dont les noms se remuent dans l'urne de Minos . Moi , Thyeste , je les vaincrai tous dans la carrière du crime , mais je serai vaincu par mon frère ; mes flancs ont servi de tom- beau à mes enfans et je me suis nourri de mes ...
... sang dont les noms se remuent dans l'urne de Minos . Moi , Thyeste , je les vaincrai tous dans la carrière du crime , mais je serai vaincu par mon frère ; mes flancs ont servi de tom- beau à mes enfans et je me suis nourri de mes ...
Seite 11
... sang d'Atrée à son tour va couler dans ce palais . Je vois d'ici des armes , des épées , des haches à deux tranchans , et la tête du roi fendue en deux . Tous les crimes s'ap- prêtent , les embûches , le meurtre , le sang , mais sur ...
... sang d'Atrée à son tour va couler dans ce palais . Je vois d'ici des armes , des épées , des haches à deux tranchans , et la tête du roi fendue en deux . Tous les crimes s'ap- prêtent , les embûches , le meurtre , le sang , mais sur ...
Seite 23
... sang de votre fille a levé les obstacles qui tenaient la flotte des Grecs enchaînée dans le port , et fait cesser le calme d'une mer immobile . CLYTEMNESTRE . O honte ! ô douleur ! moi , fille de Tyndare , moi , fille du ciel , j'ai ...
... sang de votre fille a levé les obstacles qui tenaient la flotte des Grecs enchaînée dans le port , et fait cesser le calme d'une mer immobile . CLYTEMNESTRE . O honte ! ô douleur ! moi , fille de Tyndare , moi , fille du ciel , j'ai ...
Seite 27
... sang avec le sien , et perds ton époux en mourant toi - même . Il n'y a point de malheur à périr avec celui qu'on veut perdre . LA NOURRICE . Reine , calmez - vous , mettez un frein à cette fureur impétueuse , et considérez la grandeur ...
... sang avec le sien , et perds ton époux en mourant toi - même . Il n'y a point de malheur à périr avec celui qu'on veut perdre . LA NOURRICE . Reine , calmez - vous , mettez un frein à cette fureur impétueuse , et considérez la grandeur ...
Seite 29
... sang , et tous les malheurs du palais de Priam rendus à la Grèce : étouffez dans votre sein ces pensées funestes , et que votre âme s'apaise envers vous - même . : SCÈNE II . ÉGISTHE , CLYTEMNESTRE , LA NOURRICE . ÉGISTHE . Il est enfin ...
... sang , et tous les malheurs du palais de Priam rendus à la Grèce : étouffez dans votre sein ces pensées funestes , et que votre âme s'apaise envers vous - même . : SCÈNE II . ÉGISTHE , CLYTEMNESTRE , LA NOURRICE . ÉGISTHE . Il est enfin ...
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acte æther AGAMEMNON Alcide ALCMENA amor Argos astra atque cælo cælum caput CASSANDRE CHOEUR CHORUS ciel CLYTEMNESTRE conjugem conjux crime cruel cruore d'Hercule DEJANIRA DÉJANIRE diem dieux dolor domus douleur ecce ÉGISTHE ÉLECTRE enfans épouse époux fata femme feræ fides fille fils flammes flots foudre furieux furor genus hæc Hercule furieux Herculem hinc HYLLUS ignes illa ille inter Iole ipsa ipse j'ai Junon Jupiter lacrimas licet Lichas main malheur malum manu manus meis meos mère mihi miseranda monstres mori mort Mycènes nate NERO NÉRON Nessus nocte NOURRICE noverca nunc NUTRIX OCTAVIE omne palais parens pater pectore père perfidie PHILOCTÈTE pleurer Poppée PRÆFECTUS Priam quæ quam Quid quidquid quis quod quoque quum ROTROU sæpe sæva sang scelere scelus SCENA semper SENECA SÉNÈQUE soleil Styx tamen tellus temple terre Thessalie Thrace Thyeste tibi Titan trépas triste Troie tulit umbras urbes vultus
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Seite 391 - Mes parents, mes amis, l'avenir, ma jeunesse, Mes écrits imparfaits ; car, à ses propres yeux, L'homme sait se cacher d'un voile spécieux... A quelque noir destin qu'elle soit asservie. D'une étreinte invincible il embrasse la vie, Et va chercher bien loin, plutôt que de mourir, Quelque prétexte ami de vivre et de souffrir.
Seite 389 - On voit à l'horizon, de deux points opposés, Des nuages monter dans les airs embrasés; On les voit s'épaissir, s'élever et s'étendre. D'un tonnerre éloigné le bruit s'est fait entendre Les flots en ont frémi, l'air en est ébranlé, Et le long du vallon le feuillage a tremblé. Les monts ont prolongé le lugubre murmure Dont le bruit lent et sourd attriste la nature.
Seite 387 - L'honneur est comme une île escarpée et sans bords : On n'y peut plus rentrer dès qu'on en est dehors.
Seite 421 - Je fléchis mon orgueil; j'allai prier Pallas. Son maître, chaque jour caressé dans mes bras, Prit insensiblement dans les yeux de sa nièce L'amour où je voulais amener sa tendresse. Mais ce lien du sang qui nous joignait tous deux Ecartait Claudius d'un lit incestueux; II n'osait épouser la fille de son frère.
Seite 230 - Si me catenis horridus vinctum suis praeberet avidae Caucasus volucri dapem, Scythia gemente flebilis gemitus mihi non...
Seite 419 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Seite 388 - Des courtisans sur nous les inquiets regards Avec avidité tombent de toutes parts; A travers les respects leurs trompeuses souplesses Pénètrent dans nos cœurs , et cherchent nos faiblesses; A leur malignité rien n'échappe et ne fuit; Un seul mot, un soupir, un coup d'œil nous trahit; Tout parle contre nous , jusqu'à notre silence...
Seite 411 - Cent replis tortueux, je ne te priois pas; Quand j'ai , dans les enfers , affronté la mort même , Je n'ai point réclamé ta puissance suprême; J'ai de monstres divers purgé chaque élément , Sans jeter vers le ciel un regard seulement; Mon bras fut mon...
Seite 399 - Que le foudre en tes mains n'est plus qu'un vain fardeau. Des objets de ton bras le mien est l'homicide, Et tu n'as rien à faire après les faits d'Alcide; Tu n'as plus à tonner; et le ciel toutefois M'est encore interdit après tous ces exploits.
Seite 50 - Nox prima caelum sparserat stellis, iacent deserta vento vela, turn murmur grave, maiora minitans, collibus summis cadit tractuque longo litus ac petrae gemunt; agitata ventis unda Venturis tumet— cum subito luna conditur, stellae latent, in astra pontus tollitur, caelum perit. nee una nox est; densa tenebras obruit caligo et omni luce subducta fretum caelumque miscet. The darkness of the night is systematically "covered," as com-pared with Aeschylus' brief '