Vie de Madame de Krudener, Volume 2Cherbuliez, 1849 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 40
Page 20
... s'en faire écouter et emporta , en les quittant , la joie de les avoir laissés se préparant à la mort avec une résigna- tion fervente . Cet acte tout simple de la vie de Madame de Krü- dener a trouvé grâce devant son biographe , M. Pari ...
... s'en faire écouter et emporta , en les quittant , la joie de les avoir laissés se préparant à la mort avec une résigna- tion fervente . Cet acte tout simple de la vie de Madame de Krü- dener a trouvé grâce devant son biographe , M. Pari ...
Page 23
... s'en occupait depuis deux jours , lorsqu'il ren- contra Madame de Lézay , qui , aussitôt lui offrit le sien , qu'elle devait quitter pour aller soigner son fils , qu'on venait d'amener blessé chez un ami . Madame de Krüdener se ...
... s'en occupait depuis deux jours , lorsqu'il ren- contra Madame de Lézay , qui , aussitôt lui offrit le sien , qu'elle devait quitter pour aller soigner son fils , qu'on venait d'amener blessé chez un ami . Madame de Krüdener se ...
Page 27
... de la diplo- matie s'en préoccupaient et avaient chargé leurs polices officielles et officieuses de saisir à tout prix le fil qui devait les guider dans ce labyrinthe . Les bruits les plus extravagants étaient tour à tour ac- cueillis.
... de la diplo- matie s'en préoccupaient et avaient chargé leurs polices officielles et officieuses de saisir à tout prix le fil qui devait les guider dans ce labyrinthe . Les bruits les plus extravagants étaient tour à tour ac- cueillis.
Page 28
... s'en émut guère . On eut recours alors à une tactique plus adroite . Un diplomate Français , trop connu , pour qu'il soit besoin de le nommer , conseilla de contreminer la puissance de Madame de Krüdener en attirant l'Empereur dans un ...
... s'en émut guère . On eut recours alors à une tactique plus adroite . Un diplomate Français , trop connu , pour qu'il soit besoin de le nommer , conseilla de contreminer la puissance de Madame de Krüdener en attirant l'Empereur dans un ...
Page 29
... s'en tint volontiers aux lazzis et aux quolibets des petits journaux de l'époque qui se divertissaient à ses dépens . On lui supposait toutes les fantaisies qui pouvaient la rendre burlesque , on lui prêtait les plus ridicu- les propos ...
... s'en tint volontiers aux lazzis et aux quolibets des petits journaux de l'époque qui se divertissaient à ses dépens . On lui supposait toutes les fantaisies qui pouvaient la rendre burlesque , on lui prêtait les plus ridicu- les propos ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
Aarau aimer Alexandre Alphonse Rabbe âme amour Antistès Arrivée avaient badois Bâle bénisse Benjamin Constant besoin c'était Capodistrias céleste charité Châteaubriand cher choses chrétien Christ cœur confession consolations Conversation croix d'Alexandre dame demander devant Dieu divin donner douleurs Empaytaz femme fille foule Galitzin gendarmes genoux gloire grecs ottomans heures Hoernlein hommes Houb j'ai Jésus Jésus-Christ joie jour Kellner Kosse l'amour l'empereur Alexandre l'empereur de Russie l'Eternel l'Evangile Lachenal laisser larmes lendemain Lettre de Madame Liebegg Loffstetten long-temps Madame Armand Madame de Berckheim Madame de Krü Madame de Krüdener Madame de Labédoyère maison Maurer ment misères miséricorde monde Monsieur n'avait paix pardon parler parole passer pasteur pauvres péchés pécheurs pensée persécutions peuple Photius police pouvait prêche prédication prier prière prince profonde quitter Rafz religieuse rien Russie s'était sainte Sainte-Alliance Sainte-Beuve sauver Sauveur Schaffhausen Seigneur sentimens sentiment seul Stourdza Suisse terre trouver Unterholtz venait Visite vivant voix
Fréquemment cités
Page 229 - Venez , les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim , et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'ai été nu , et vous m'avez revêtu ; j'ai été malade , et vous m'avez .visité ; j'ai été en prison, et vous êtes venus me voir.
Page 197 - Je le répète, je n'aurais pas à me défendre, là où je n'aurais pas à traverser le désert de la civilisation, et à lutter contre des lois réprouvées par le seul code que je reconnais, celui du Dieu vivant. Je vous prouve, Monsieur, que les fautes qui m'ont attiré le blâme de votre gouvernement, n'ont pu être évitées par moi, sans renoncer à la religion dans laquelle je suis née et que je pratique ; et je vous estime assez, Monsieur, pour être sûre que vous les auriez commises comme...
Page 363 - C'est à moi h me montrer le premier convaincu des principes sur lesquels j'ai fondé l'alliance. Une occasion s'est présentée : le soulèvement de la Grèce. Rien sans doute ne paraissait être plus dans mes intérêts , dans ceux de mes peuples, dans l'opinion de mon pays, qu'une guerre religieuse contre la Turquie; mais j'ai cru remarquer dans les troubles du Péloponèse le signe révolutionnaire. «Dès lors, je me suis abstenu.
Page 180 - Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes, et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu ! Voici, votre demeure va devenir déserte.
Page 168 - Si donc ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s'il a soif, donne-lui à boire ; car en faisant cela tu retireras des charbons de feu qui sont sur sa tête.
Page 362 - Sultan sur la tête de ce malheureux peuple; pendant quatre ans, il paralysa et déjoua les plus nobles sentimens, sans égard ni à la délicatesse de la position de la Russie, ni à ses intérêts, abusant constamment de la confiance qui lui était accordée, et ne faisant jamais une promesse que pour y manquer.
Page 92 - était rempli d'amour pour mes ennemis. J'ai pu » prier avec ferveur pour eux tous ; et c'est en pleu» rant au pied de la croix du Christ, que j'ai » demandé le salut de la France.
Page 309 - Un grand prodige parut aussi dans le ciel : une femme revêtue du soleil, ayant la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de douze étoiles.
Page 109 - Éternel , je connais que la voie de l'homme ne » dépend pas de lui , et qu'il n'est pas au pouvoir de l'homme qui
Page 60 - Chateaubriand lui-même , président du collège électoral du Loiret, disait au Roi : « Le moment est venu de suspendre le cours de votre inépuisable clémence; vous avez saisi le glaive que le souverain du ciel a confié aux puissans de la terre pour assurer le repos des peuples. » Mais les royalistes ne commandèrent pas de massacres ; le cœur se refuse même à croire qu'ils y applaudirent. J'explique les faits : dans les cent-jours le parti royaliste, toujours habile à renverser et...