Vie de Madame de Krudener, Volume 2Cherbuliez, 1849 |
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... douleurs , à vos » péchés , à vos mécomptes , à vos tourments , le seul >> remède dans le ciel et sur la terre , je vous prê- » cherai la miséricorde du Sauveur , sinon , mon temps » m'est trop précieux . >> CHAPITRE XVIII . Août 1815 ...
... douleurs , à vos » péchés , à vos mécomptes , à vos tourments , le seul >> remède dans le ciel et sur la terre , je vous prê- » cherai la miséricorde du Sauveur , sinon , mon temps » m'est trop précieux . >> CHAPITRE XVIII . Août 1815 ...
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... douleurs et de nouveaux déchi- remens . Madame de Krüdener avait peu de confiance dans les secours humains . Tout en espérant qu'un retour et des aveux sincères attendriraient le Roi , elle désirait surtout élever les regards de Labé ...
... douleurs et de nouveaux déchi- remens . Madame de Krüdener avait peu de confiance dans les secours humains . Tout en espérant qu'un retour et des aveux sincères attendriraient le Roi , elle désirait surtout élever les regards de Labé ...
Page 68
... douleurs que j'avais éprouvées hier » pour ce malheureux Labédoyère et les heures pas- » sées dans cette nuit de tristesse d'âme , quel bien- >> fait pour nous d'entendre le chant sacré et les paroles Seigneur ayez pitié de nous : que j ...
... douleurs que j'avais éprouvées hier » pour ce malheureux Labédoyère et les heures pas- » sées dans cette nuit de tristesse d'âme , quel bien- >> fait pour nous d'entendre le chant sacré et les paroles Seigneur ayez pitié de nous : que j ...
Page 77
... douleurs morales , ces déchire- >> remens de cœur qui bouleversent notre vie auraient » été prévenus si nous avions veillé ; alors nous n'au- >> rions pas donné entrée dans notre âme à ces pas- >> sions qui toutes , même les plus ...
... douleurs morales , ces déchire- >> remens de cœur qui bouleversent notre vie auraient » été prévenus si nous avions veillé ; alors nous n'au- >> rions pas donné entrée dans notre âme à ces pas- >> sions qui toutes , même les plus ...
Page 115
... douleurs ? Croyez - vous qu'on » puisse être là tranquillement avec un petit revenu >> modique mais assuré , vivre pour ses enfans » son mari , en travaillant pour eux et leur don- >> nant quelques leçons , faisant même quelques au ...
... douleurs ? Croyez - vous qu'on » puisse être là tranquillement avec un petit revenu >> modique mais assuré , vivre pour ses enfans » son mari , en travaillant pour eux et leur don- >> nant quelques leçons , faisant même quelques au ...
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Expressions et termes fréquents
Aarau aimer Alexandre Alphonse Rabbe âme amour Antistès Arrivée avaient badois Bâle bénisse Benjamin Constant besoin c'était Capodistrias céleste charité Châteaubriand cher choses chrétien Christ cœur confession consolations Conversation croix d'Alexandre dame demander devant Dieu divin donner douleurs Empaytaz femme fille foule Galitzin gendarmes genoux gloire grecs ottomans heures Hoernlein hommes Houb j'ai Jésus Jésus-Christ joie jour Kellner Kosse l'amour l'empereur Alexandre l'empereur de Russie l'Eternel l'Evangile Lachenal laisser larmes lendemain Lettre de Madame Liebegg Loffstetten long-temps Madame Armand Madame de Berckheim Madame de Krü Madame de Krüdener Madame de Labédoyère maison Maurer ment misères miséricorde monde Monsieur n'avait paix pardon parler parole passer pasteur pauvres péchés pécheurs pensée persécutions peuple Photius police pouvait prêche prédication prier prière prince profonde quitter Rafz religieuse rien Russie s'était sainte Sainte-Alliance Sainte-Beuve sauver Sauveur Schaffhausen Seigneur sentimens sentiment seul Stourdza Suisse terre trouver Unterholtz venait Visite vivant voix
Fréquemment cités
Page 229 - Venez , les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim , et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'ai été nu , et vous m'avez revêtu ; j'ai été malade , et vous m'avez .visité ; j'ai été en prison, et vous êtes venus me voir.
Page 197 - Je le répète, je n'aurais pas à me défendre, là où je n'aurais pas à traverser le désert de la civilisation, et à lutter contre des lois réprouvées par le seul code que je reconnais, celui du Dieu vivant. Je vous prouve, Monsieur, que les fautes qui m'ont attiré le blâme de votre gouvernement, n'ont pu être évitées par moi, sans renoncer à la religion dans laquelle je suis née et que je pratique ; et je vous estime assez, Monsieur, pour être sûre que vous les auriez commises comme...
Page 363 - C'est à moi h me montrer le premier convaincu des principes sur lesquels j'ai fondé l'alliance. Une occasion s'est présentée : le soulèvement de la Grèce. Rien sans doute ne paraissait être plus dans mes intérêts , dans ceux de mes peuples, dans l'opinion de mon pays, qu'une guerre religieuse contre la Turquie; mais j'ai cru remarquer dans les troubles du Péloponèse le signe révolutionnaire. «Dès lors, je me suis abstenu.
Page 180 - Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes, et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu ! Voici, votre demeure va devenir déserte.
Page 168 - Si donc ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s'il a soif, donne-lui à boire ; car en faisant cela tu retireras des charbons de feu qui sont sur sa tête.
Page 362 - Sultan sur la tête de ce malheureux peuple; pendant quatre ans, il paralysa et déjoua les plus nobles sentimens, sans égard ni à la délicatesse de la position de la Russie, ni à ses intérêts, abusant constamment de la confiance qui lui était accordée, et ne faisant jamais une promesse que pour y manquer.
Page 92 - était rempli d'amour pour mes ennemis. J'ai pu » prier avec ferveur pour eux tous ; et c'est en pleu» rant au pied de la croix du Christ, que j'ai » demandé le salut de la France.
Page 309 - Un grand prodige parut aussi dans le ciel : une femme revêtue du soleil, ayant la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de douze étoiles.
Page 109 - Éternel , je connais que la voie de l'homme ne » dépend pas de lui , et qu'il n'est pas au pouvoir de l'homme qui
Page 60 - Chateaubriand lui-même , président du collège électoral du Loiret, disait au Roi : « Le moment est venu de suspendre le cours de votre inépuisable clémence; vous avez saisi le glaive que le souverain du ciel a confié aux puissans de la terre pour assurer le repos des peuples. » Mais les royalistes ne commandèrent pas de massacres ; le cœur se refuse même à croire qu'ils y applaudirent. J'explique les faits : dans les cent-jours le parti royaliste, toujours habile à renverser et...