La question sociale et la civilisation païenne |
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Beliebte Passagen
Seite 61 - Les classes élevées n'ont jamais eu chez les anciens assez d'intelligence ni assez d'habileté pour tourner les pauvres vers le travail et les aider à sortir honorablement de la misère et de la corruption. Quelques hommes de cœur l'ont essayé ; ils n'y ont pas réussi. Il résultait de là que les cités flottaient toujours entre deux révolutions, l'une qui dépouillait les riches, l'autre qui les remettait en possession de leur fortune. Cela dura de•Aristote, PoJ.,VIII, 4 (V, 4).
Seite 109 - Il est à craindre que bientôt la froideur ne se tourne en haine, et que le souvenir des bienfaits passés ne s'affaiblisse. Mais qu'elles travaillent sous vos yeux, vous les aimerez, en voyant qu'elles vous sont utiles ; elles vous chériront, parce qu'elles reconnaîtront qu'elles vous plaisent. Vous vous rappellerez avec plus déplaisir vos services mutuels ; ce souvenir ajoutera à la reconnaissance, et vous en deviendrez meilleurs amis et meilleurs parents.
Seite 113 - ON était donc fort embarrassé dans les républiques grecques : ON ne voulait pas que les citoyens travaillassent au commerce, à l'agriculture ni aux arts ; ON ne voulait pas non plus qu'ils fussent oisifs.
Seite 107 - Mais comment se fait-il donc que Céramon, qui nourrit tant de personnes , suffise à ses besoins et aux leurs, et qu'il fasse même assez d'économies pour s'enrichir, tandis que vous craignez de périr de besoin parce que vous avez plusieurs personnes à nourrir? — C'est qu'il nourrit , lui , des esclaves , et moi des personnes libres. — Qui estimez-vous le plus de ces personnes libres que vous avez chez vous ou des esclaves de Céramon?
Seite 265 - On y avait mêlé des foies de carrelets, des cervelles de faisans et de paons, des langues de phénicoptères et des laitances de lamproies. Des vaisseaux et des trirèmes avaient élé chercher tout cela depuis le pays des Parthes jusqu'à la mer d'Espagne.
Seite 110 - S'il s'agissait de faire quelque chose de honteux, il faudrait préférer la mort : mais ce que vos parentes savent faire est ce qui convient le mieux à leur sexe; et ce qu'on sait, on le fait bien, on le fait avec aisance, avec promptitude, avec plaisir.
Seite 216 - Une loi du dictateur César avait fixé ce qu'on pouvait prêter d'argent , et ce qu'on devait posséder de biensfonds en Italie. Cette loi avait été négligée presque aussitôt , parce que le bien public est toujours sacrifié à l'intérêt particulier. En général , l'usure aété un vice ancien parmi nous, et la cause la plus commune de nos discordes et de nos séditions.
Seite 99 - Mais le septième jour est le jour du repos de l'Eternel, ton Dieu, tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes.
Seite 50 - César lut au sénat la loi suivante : « Pour relever l'agriculture et repeupler les solitudes de l'Italie, on distribuera aux pauvres les terres du domaine public. Celles de la Campanie ne seront données qu'à ceux qui ont au moins trois enfants, et une redevance sera payée pour ces concessions au trésor.
Seite 37 - K combattre pour leurs tombeaux et pour leurs temples; car, « entre tant de Romains, en est-il un seul qui ait un autel « domestique, un tombeau de ses ancêtres? Ils combattent « et meurent uniquement pour soutenir le luxe et l'opulence «• d'autrui; et on les appelle les maîtres de l'univers...