...méditant sur la nature des sciences morales, on ne peut en effet s'empêcher de voir qu'appuyée» comme les sciences physiques sur l'observation des...précise, atteindre au même degré de certitude. Tout seroit A L'ACADÉMIE FRANÇOISE. égal entr'elles pour un être qui , étranger à notre espèce ,...

...postérité. Il me serait facile de confirmer cette vérité.Témoin nécessaire du progrès des sciences, je vois chaque année, chaque mois, chaque jour, pour...atteindre au même degré de certitude. Tout serait égal entre elles pour un être qui, étranger à notre espèce, étudierait la société humaine comme nous...

...plus étendue. Condorcet écrivait : « En méditant sur la nature des sciences morales, on ne peut s'empêcher de voir qu'appuyées comme les sciences...atteindre au même degré de certitude. Tout serait égal entre elles pour un être qui, étranger à notre espèce, étudierait la société humaine comme nous...

...Condorcet de son côté écrivait : « En méditant sur la nature des sciences morales, on ne peut s'empêcher de voir qu'appuyées comme les sciences...précise, atteindre au même degré de certitude. » Condorcet n'at-il pas d'ailleurs écrit la Mathématique sociale, où il répète en différents...

...raisonnent grossièrement, vivent en société. « En méditant sur les sciences morales, on ne peut s'empêcher de voir qu'appuyées, comme les sciences...des faits, elles doivent suivre la même méthode. » (Disc, de récept. à l'Acad.) Déjà Voltaire avait fait rentrer l'histoire dans les sciences de...

...discours de réception à l'Académie française : « En méditant sur les sciences morales, on ne peut s'empêcher de voir qu'appuyées, comme les sciences...des faits, elles doivent suivre la même méthode. » Déjà, à propos de la nature au sens où l'entendait le dix-huitième siècle, nous avons été...

...celle des sciences physiques ; et cette idée si douce que nos neveux nous surpasseront en sagesse, n'est plus une illusion. En méditant sur la nature...atteindre au même degré de certitude. Tout serait égal entre elles, pour un être qui, étranger à notre espèce, étudierait la société humaine comme...

...celle des sciences physiques ; et cette idée si douce que nos neveux nous surpasseront en sagesse, n'est plus une illusion. En méditant sur la nature...atteindre au même degré de certitude. Tout serait égal entre elles, pour un être qui, étranger à notre espèce, étudierait la société humaine comme...

...[...] n'auront pas une marche moins sûre que celle des sciences physiques» ou encore que «appuyées comme les sciences physiques sur l'observation des faits elles doivent suivre la même méthode, [...] atteindre au même degré de certitude »(26>. De telles idées sont reprises jusqu'à satiété...