 | 1845 - 338 Seiten
...visions — cette sainte qui laisse douter si elle aime un Dieu fait homme ou un homme fait Dieu. * toute brûlante d'un si grand amour de Dieu que la...de ce feu me faisait jeter des cris, mais des cris mêlés d'une » si extrême joie que je ne pouvais désirer d'êlre délivrée d'une » douleur si... | |
 | Saint Teresa (of Avila) - 1840 - 752 Seiten
...visions. Elle voyait souvent des anges et un séraphin lui percer le cœur avec un dard, ce qui l'embrase d'un si grand amour de Dieu, que la violence de ce feu lui faisait jeter des cris, mais des cris mêlés d'une joie inconcevable. 205 CIIAP. XXX. La Sainte... | |
 | Brocard de Sainte Thérèse, U. A. Beaucarne - 1846 - 518 Seiten
...mon cœur , et que toutes les fois qu'il t'en retirait il m'arrachait les entrailles , et me laissait brûlante d'un si grand amour de Dieu , que la violence...de ce feu me faisait jeter des cris , mais des cris mêlés d'une si extrême joie que je ne pouvais désirer d'être délivrée d'une douleur si agréable... | |
 | René François Rohrbacher - 1846 - 738 Seiten
...l'en relirait , il m'arrachait les entrailles et me laissait toute brûlante d'un si grand amonr i Dieu, que la violence de ce feu me faisait jeter des cris , mais ùi cris mêlés d'une si extrême joie , que je ne pouvais désirer d'étr. délivrée d'une douleur... | |
 | 1847 - 1150 Seiten
...diverses fois dans mon cœur, et que, toutes les fois qu'il l'en retirait, il m'arrachait les entrailles et me laissait toute brûlante d'un si grand amour...de ce feu me faisait jeter des cris, mais des cris mêlés d'une si extrême joie, que je ne pouvais désirer d'être délivrée d'une douleur si agréable.... | |
 | Guénée Watt - 1847 - 158 Seiten
...qu'il l'en » retirait, il m'arrachait les entrailles et me laissait » brûlante d'un si grand feu que la violence de ce feu » me faisait jeter des cris , mais des cris mêlés d'une » si extrême joie que je ne pouvais désirer d'être déli» vrée d'une douleur si... | |
 | Alphonse Karr - 1853 - 444 Seiten
...diverses fois dans mon cœur, et que, toutes les fois qu'il l'en retirait, il m'arrachait les entrailles, et me laissait toute brûlante d'un si grand amour...de ce feu me faisait jeter des cris, mais des cris mêlés d'une si extrême joie, que je ne pouvais désirer d'être délivrée d'une douleur si agréable,... | |
 | Alphonse Karr - 1867 - 326 Seiten
...diverses fois dans mon cœur, et que, toutes les fois qu'il l'en retirait, il m'arrachait les entrailles, et me laissait toute brûlante d'un si grand amour...délivrée d'une douleur si agréable, ni trouver de repos et de contentement qu'en Dieu seul. Cette douleur dont je parle n'est pas corporelle, mais... | |
 | Alphonse Karr - 1868 - 660 Seiten
...diverses fois dans mon cœur, et que, toutes les fois qu'il l'en retirait, il m'arrachait les entrailles, et me laissait toute brûlante d'un si grand amour...de ce feu me faisait jeter des cris, mais des cris mêlés d'une si extrême joie, que je pe pouvais désirer d'êlre délivrée d'une douleur si agréable,... | |
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L'attitude, naturelle pourtant, est aussi poétique que possible. — Ce tableau respire une volupté excessive, et montre dans l'auteur un homme capable de... 
