 ... ces cataractes écumantes, dont les eaux suspendues semblent moins rouler sur la terre que descendre des nues; avoir pénétré dans ces vastes déserts, dans ces solitudes immenses, où l'on trouve à peine quelques vestiges de l'homme, où la Nature,...  Phonologie mécanique de la langue française - Seite 386von Jules Édouard Blondel - 1895 - 407 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
 | 1774 - 910 Seiten
...trouve à peine quelques vertiges de l'homme, où la Nature accoutumée au plus profond filence , dut être étonnée de s'entendre interroger pour la première fois ; Avoir plus fait, en un mot, par le feul motif de la gloire des lettres r que l'on ne Et jamais pour la foif de l'or : voilà ce... | |
 | abbé Sabatier de Castres (Antoine) - 1770 - 750 Seiten
...peine » quelques veftiges de l'homme , où la » nature , accoutumée au plus profond fi» lence , dut être étonnée de s'entendre » interroger pour la première fois ; avoir » plus fait , en un mot , par le feul motif » de la gloire des lettres, que l'on ne fit » jamais par la foif de l'or : voilà... | |
 | Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1777 - 646 Seiten
...très-long temps confrère de M. de la Condamme i l'Académie des Sciences. filence , filence, dut être étonnée de s'entendre interroger pour la première fois; avoir plus fait en un mot, par le fèul motif de la gloire des Lettres , que l'on ne fit jamais par la forf de l'or : voilà ce... | |
 | Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1798 - 960 Seiten
...trouve à peine quelques vestiges de l'homme ; où la Nature accoutumée au plus profond silence, dut être étonnée de s'entendre interroger pour la première fois ; avoir plus fait en un mot, par le Seul r motif d;e la gloire des lettres, que Pdtt iae fit jamais par la soif de l'or : voilà... | |
 | 1786 - 752 Seiten
...trouve à " peine quelques vefliges de l'homme , où la nature accoutumée au plus profond filence, dut être étonnée de s'entendre interroger pour la première fois ; avoir plus fait, en un mot, par le feul motif de la gloire des lettres , que l'on ne fit jamais par la foif de l'or ; voilà ce... | |
 | J. L. Ferry - 1789 - 662 Seiten
...»ïeflige de l'homme, où la nature , accoutu«tnés au -plus profond fiîence , dut être éton» née de s'entendre interroger pour la première «fois; avoir plus fait en un mot, par le feul » motif de la gloire des lettres , que l'on ne » fit jamais par la' fcif de l'or : voilà... | |
 | Georges-Louis Leclerc Comte de Buffon - 1799 - 482 Seiten
...trouve à peine quelques vestiges de l'homme ; où la Nature accoutumée au plus profond silence , dut être étonnée de s'entendre interroger pour la première fois ; avoir plus fait en un inot, par le seul motif de la gloire des lettres, que l'on ne fit jamais par la soif de l'or : voilà... | |
 | Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1799 - 340 Seiten
...trouve à peine quelques vestiges de l'homme , où la Nature , accoutumée au plus profond silence, dut être étonnée de s'entendre interroger pour la première fois; avoir plus fait , eu un mot, par le seul motif de la gloire des lettres que l'on ne fit jamais par la soif de l'or... | |
 | 1813 - 510 Seiten
...peine quelques vestiges « de l'homme , où la nature , accoutumée au « plus profond silence, dut être étonnée de « s'entendre interroger pour la première fois; « avoir plus fait, en un mot, par le seul « motif de la gloire des lettres, que l'on ne « fit jamais par la soif de l'or : voilà... | |
 | Nicolas Gouin Dufief - 1823 - 634 Seiten
...trouve à peine quelques vestiges de l'homme, où la nature, accoutumée au plus profond silence, dut être étonnée de s'entendre interroger pour la première fois ; avoir plus fait, en un mot, par le seul motif de la gloire des lettres, que l'on ne fit jamais par la soif de l'or: voilà ce que... | |
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