Histoire de France depuis l'établissement de la monarchie jusqu'au règne de Louis XIV, Band 8chez Desaint et Saillant, 1762 |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
affemblée affez affiégés affuré ainfi Argentré auffi Auffi-tôt avoient avoit Bretagne c'eft C'eſt caufe Charles Charles de Blois chevalier chofe comté d'Artois comte de Flandre comte de Hainaut comte de Valois comteffe confeil confentit couronne d'Angleterre d'Edouard deffein déja devoit duc de Normandie eccléfiaftique Edouard enfuite ennemis époufa étoient étoit facré faifant faifoit faint faint Denis fans fe rendit feconde fecours fecrétement feigneurs felon fentir feroit fervir feul fiege fille Flamands Flandre fœur foit fomme fon fils fon frere fous fouverain François Froiffard fuite fuivant fujets guerre Guienne Hainaut Hift hiftoriens Ibid Jean Jeanne jufqu'à jufte juftice l'Eglife laiffa loix lorfque ment Mezeray miniftre monarque Anglois mort n'avoit n'étoit Nang Navarre nobleffe occafion paffer pape perfonne Philippe de Valois plufieurs pouvoit préfent prélats premiere prifonnier prince princeffe puiffance puiffant raifon reine rent Robert d'Artois rois royaume Spicil tion treve troupes دو
Beliebte Passagen
Seite 266 - Dieu , c'eft-à-dire , fous la protection & la confolation de l'humanité de JC Mais après le jugement , ils feront fur l'autel , c'eft-à-dire fur l'humanité de JC parce qu'alors ils verront non-feulement fon humanité , mais encore fa divinité , comme elle eft en elle-même j car ils verront le Père , le Fils , & le S, Efprit.
Seite 103 - L'été , ils allumoient de grands feux auxquels ils iê chauffoient comme s'ils en euffent eu grand befoin : l'hiver , c'eût été une honte d'en trouver dans leurs maifons : -leurs cheminées alors n'étoient garnies que de feuillages, ou...
Seite 409 - Nord font privés de la chaleur néceffaire pour faire le fel , & ceux fîtués au-delà du quarante -deuxième degré de latitude) Comme efl l'Efpagne , font un fel trop corrofif , qui mange & détruit les chairs au lieu de les nourrir & de les conferver; la France feule fe trouve dans un climat tempéré propre à faire le fel...
Seite 18 - ... fe tenir enveloppées , aimant mieux , à toute extrémité , perdre la vie que le bien. Ils eurent grand tort à fon gré , de n'avoir pas accufé un miniftre qu'il veut abfolument trouver coupable. C'étoit aufli ce qui défefpéroit le comte de Valois.
Seite 466 - ... pas conservé les noms, ces noms sacrés qu'on aurait dû graver en caractères ineffaçables , achevèrent le nombre des six victimes. Le gouverneur, qui courbé sous le poids des années et des maladies, pouvait à peine se soutenir, monta à cheval et les conduisit jusqu'à la porte de la ville. Là, il les remit entre les mains de Mauni, en le priant d'intercéder pour eux auprès de son roi. Ils parurent devant Edouard , et lui présentèrent humblement les clefs de Calais. Leur magnanimité...
Seite 103 - Galoifes : car les femmes auflibien que les hommes fe difputoient à qui foutiendroit le plus dignement l'honneur de cette religion extravagante , dont l'objet étoit de prouver l'excès de fon amour par une opiniâtreté invincible à braver les rigueurs desfaifons.
Seite 464 - Tous les habitans, aflembjés fur la place-, attendoiem la réponfe d'Edouard , avec cette inquiétude que donnent la crainte de la mort , & l'efpérance de la vie. Dès que l'ordre eut été publié^ un morne filence annonça l'anéantiffement de tous les cœurs.
Seite 221 - L'orgueilleux Anglais refusa de recevoir les ambassadeurs , et fit répondre par sa mère que le fils d'un Roi n'iroit point s'humilier devant le fils d'un comte. Philippe mit surle-champ la Guyenne en séquestre, et menaça d'une confiscation définitive si Edouard ne remplissoit pas son devoir. Le jeune prince fut obligé de plier; il écrivit d'abord pour s'excuser du retard, puis s'embarqua pour la France. Le 6 juin...
Seite 465 - ... adorer de pitié: ils fe profternerent à fes pieds en les arrofant de leurs larmes. Quel eft le pouvoir de la vertu ! Jean Daire, courageux imitateur...
Seite 306 - Gerlac comte deNaiTau, que le pape reçut agréablement; mais il leur dit à l'oreille prefque en pleurant: Je fuis bien difpofé pour votre prince, mais le roi de France m'a écrit que fi je l'abfous fans fon confentement , il me traitera plus mal que fes prédécefleurs n'ont traité Boniface.