Collection des meilleurs dissertations, notices et traités particuliers relatifs à l'histoire de France, par C. Leber, Band 41838 |
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aîné assemblée Austrasie Austrasiens avaient Balus barons Bened Bourgogne Carloman ceste Charlemagne Charles Charles Martel Charles-le-Chauve Chartes Childebert Childéric Childéric III Clodomir Clotaire Clotaire III Clovis Clovis Ier comte couronne coutume d'Austrasie Dagobert Dagobert III déférer descendans Dieu droict Edit ejus élection empereurs enfans États évêque filius fille fils Francorum Fred Fredeg Frédegaire frère gallique Gaules Gontran gouvernement Greg Grégoire de Tours Grimoalde héréditaire Hist historiens Hugues Capet Ibid ire LIV l'an l'élection l'empereur lettres loi salique lois Louis Louis XII maire maison ment Mérovée minorité monarchie mort mourut Munderic n'avait nation Neustrie pape Parlement partage Pepin Père Daniel peuple Philippe première race quæ quod regem régence regis règne regno regnum reine rois Romains royale royaume sæc saint Saliens seconde race seigneurs seul Sigebert souverain succéder successeur succession terre salique Théodebert Thierri tion titre très-chrétien troisième race trône verò
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Seite 123 - omnipotentis Dei, ut credimus, actum est ut et nostra et totius populi nostri in dilecti primo-geniti nostri Clotarii electione vota concurrerent. Voilà certainement une élection faite en bonne forme; et en conséquence de cette élection, où il n'y eut jamais aucun étranger qui concourut, le prince
Seite 122 - il ajoute que si quelqu'un de ces princes vient à mourir, et laisse un fils que le peuple veuille élire pour succéder à son père, que ses oncles ne s'opposent point à cette élection. Quod si talis filius cuilibet istorum triumfratrum natus fuerit quem pnpulus eligere voluerit, ut patri
Seite 370 - de France qui est empereur en son royaume > peut faire ordonnances qui tiennent. Le mesme se trouue dans le Songe du Vergerj dans messire lean luuenal des Vrsins (i), en la remontrance de maistre Guillaume le Tur (2), pour M. le procureur général, dans Masuer (3) fameux practicien, et en plusieurs autres, iusques là, que les barons
Seite 52 - DU MOT DE SALE, ET PAR OCCASION DES LOIS ET TERRES SALIQUES, PAR DU GANGE (i). LE mot de sale signifie vulgairement les grandes chambres de nos maisons, qui sont appelées, par Vitruve (2) et les autres auteurs latins, oeci, par Pline (3) et Stace, asarota. Philander, sur le même Vitruve, estime qu'elles sont ainsi nommées,
Seite 60 - et les autres qui sont nommés dans les auteurs, composaient pareillement d'autres peuples. Il n'est pas toutefois facile de rechercher l'origine de tous ces noms, qu'ils peuvent avoir empruntés des pays septentrionaux, d'où ils étaient sortis (i). Ceci est, à mon avis, très-bien justifié par ceux qui ont fait mention des Saliens : Ammian Marcelin
Seite 94 - ou par une coutume encore plus ancienne , ne peut jamais être héréditaire qu'en faveur des seuls mâles de la maison régnante, comme il s'est toujours pratiqué depuis près de treize cents ans. DISSERTATION DANS LAQUELLE ON EXAMINE SI LE ROYAUME DE FRANCE, DEPUIS L'ÉTABLISSEMENT DE LA MONARCHIE , A ÉTÉ
Seite 285 - De ces deux institutions coexistantes, et jointes aux autres institutions dont nous avons parlé, il résultait naturellement qu'il devait en peu de temps se former au sein de la nation un petit nombre de maisons très-puissantes. Quelques-unes de ces maisons s'unissant et se fondant en une, par des mariages ou des contrats d'alliance, la maison qui réunissait
Seite 107 - assez que ce jeune prince fut opprimé par la cabale de Pepin-le-Bref, maire du palais, qui usurpa le trône de son maître, et nous ne croyons pas en devoir dire davantage du fils de Charles Martel et du père de Charlemagne. Il suffit que nous ayons fait voir que les rois de première
Seite 313 - favori de ce souverain, le prélat parle de la noblesse de la princesse ; il en parle comme d'une noblesse égale à celle de Charlemagne, et semble dire qu'elle ne devint plus noble que par l'union indissoluble qu'elle venait de former, dans le ciel, avec Dieu. Fastrade (i) n'était cependant que la fille de Raoul, seigneur franc, comte de Franconie
Seite 126 - leur frère, et fils posthume du Bègue, mais ils la mirent sur la tête de Charles , dit le Gras, empereur et fils du Germanique. » Je conviens sans peine du fait , et les Français ne firent rien en cela qu'ils n'eussent pratiqué plusieurs fois dans la première race. On ne mit point , à la vérité, sur