| Michel Chevalier - 1838 - 490 Seiten
...réforme, telle que l'entreprit la bourgeoisie, était celle que pouvaient concevoir des gens qui n'avaient ni faim, ni soif, ni froid. Celle qui reste à accomplir...démocratie doit être conçue de ce point de vue : que ta démocratie a froid , soif et faim ; qu'elle mérite de changer de condition , qu'elle en a la volonté... | |
| Michel Chevalier - 1843 - 374 Seiten
...telle que l'entreprit la bourgeoisie , était celle que pouvaient concevoir des gens qui n'avaient ni faim , ni soif, ni froid. Celle qui reste à accomplir...démocratie a froid, soif et faim ; qu'elle mérite (le changer de condition, qu'elle en a la volonté, et, disons-le franchement, la puissance. En un... | |
| Georges Weill - 1896 - 356 Seiten
...réforme, telle que l'entreprit la bourgeoisie, était celle que pouvaient concevoir des gens qui n'avaient ni faim, ni soif, ni froid. Celle qui reste à accomplir...volonté et, disons-le franchement, la puissance. » II appartient à la royauté de satisfaire les vœux de la démocratie par trois moyens : les chemins... | |
| 1897 - 700 Seiten
...que l'entreprit la bourgeoisie de 1789, était celle que pouvaient concevoir des gens qui n'avaient ni faim, ni soif, ni froid. Celle qui reste à accomplir...conçue de ce point de vue que la démocratie a froid, a soif, a faim, qu'elle mérite de changer de condition, qu'elle en a la volonté, et, disons-le franchement,... | |
| Georges Weill - 1912 - 332 Seiten
...l'entreprit la bourgeoisie, écrivaitil, était celle que pouvaient concevoir des gens qui n'avaient ni faim, ni soif, ni froid. Celle qui reste à accomplir...volonté, et, disons-le franchement, la puissance (1), » H est vrai que Michel Chevalier, avec l'optimisme habituel des économistes, ne réclamait... | |
| Pierre Quentin-Bauchart - 1920 - 364 Seiten
...l'arsenal des principes : c'étaient là les réformes « que pouvaient concevoir des gens qui n'avaient ni faim, ni soif, ni froid. Celle qui reste à accomplir au profit de la démocratie doit être conçue à ce point de vue : que la démocratie a froid, soif ou faim, qu'elle mérite de changer de condition,... | |
| Pierre Quentin-Bauchart - 1920 - 506 Seiten
...profit de la démocratie doit être conçue à ce point de vue : • que la démocratie a froid, soif ou faim, qu'elle mérite de changer de condition, qu'elle...volonté, et, disons-le franchement, la puissance ». Ces idées, qu'émettait Michel Chevalier dix ans auparavant2, ce sont celles qui se sont répandues... | |
| Charles Rappoport - 1925 - 286 Seiten
...réforme telle que l'entreprit la bourgeoisie, était celle que pouvaient concevoir des gens qui n'avaient ni faim, ni soif, ni froid. Celle qui reste à accomplir...volonté et, disons-le franchement, la puissance. « La réforme politique de la révolution dite bourgeoise ne faisait pas partie de cette « puissance... | |
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