Choix de chroniques et mémoires sur l'histoire, Band 6Auguste Desrez, 1837 |
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aulcuns aultres aveucques avoient avoit avoit esté bastard beaucop Bruges cause cely ceste cestui ceulx CHAPITRE chascun chevalier chière chose cler comte de Charolois comte de Nevers cuer cuers d'ung dangier dedens devers ly devoit dict Dieu dist doncques drent duc Charles duc de Bourgoingne dudict emprès encoires envers ly estat estoient estoit estre eulx eust faict faisoit fault feust fils fist fortune fust gens George Chastellain gloire grace hault Hesdin homme honneur j'ay jamès Jehan jeusne jusques l'acteur l'aultre l'ung ledict légier loing main maistre malvais matère meismes ment mès mesmes messire mieulx mist monseigneur monstrer mort moult n'avoit n'estoit noble oncques parolles père peust Pierre de Brezé pluiseurs pooit povre prestement prince prist quoy requist roy anglois roy Loys royaulme royne s'en Sainct Sainct-Pol seigneur de Croy sembloit seroit soubs tiltre tousjours toutesvoies touttes vindrent vint voloit volu vray
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Seite 253 - Ce semble mieux un vallet que un Chevalier. Tout ne vaut pas vingt francs, cheval et habillement de son corps. Encore est nostre duc, nostre prince, un soleil d'homme et une image qui represente haute personne" *). Wies man ihn aber auf die übertriebene Verachtung alles Äußerlichen hin, pflegte er zu antworten: „Quand orgueil chemine devant, honte et dommage suivent de bien pres
Seite 462 - Venu maintenant doncques au lieu là où estoit son cimitère, là fust mist jus, mis en son pourpoinct de soie , reconforté et assisté très curieusement de confesseurs , auxquels il certifioit avoir pleine vraie foy et parfaite espérance en Dieu et en la Vierge Marie , disant meismes que celle honteuse et confuse mort que Dieu lui envoyoit en si jeusnes florissans jours , lui donnoit vrai espoir que Dieu le prendroit en sa merci ; disant encore , mès que l'ame pust aller bien , ne lui chailloit...
Seite 455 - Si y furent envoyés et deputés maint notable preudomme, et maint haut et noble clerc ; et mesmes tout l'estat de saincte église y estoit semons et évoqué , par adjonction aveucques les nobles, lesquels tous s'assemblèrent à Tours, là où estoit le roy qui les attendoit...
Seite 509 - ... teint , clair brun , beau front et noire chevelure esparce et houssue, blanc col, et bien assis, et en marchant regardoit vers terre : n'estoit point tout si droict que son père : mais bel prince estoit, et de belle présentation. Avoit faconde, telle fois fut en commencement de sa raison empeschié à la bouter dehors : mais mis en train fut très éloquent.
Seite 506 - M'y avoit différence de son dire et faire, fors du temps entre deux ; estoit humble aux humbles , et fort et fel aux orgueilleux ; révérend à tous princes ; et les divers en divers degrés honorait au condigne.
Seite 451 - ... ses membres, et ne se pooit tirer de ly fruit ne parement en telle assemblée, sinon par ostension du tableau de ses armes. Les deux frères de Croy et cely de Lannoy, s'estoient présentés à Bruges, huit jours paravant , par les lettres du duc pour ester en justice devant ceux de l'ordre, là où eulx oys et accusés de plusieurs cas de par le duc , partirent enfin désolez, ne justifiez ne condamnés...
Seite 394 - EN l'an doncques de l'incarnacion du fils de Dieu mil quatre cents soixante-sept , le quinzième jour de juing, jour de pleine lune , par nuit , à dix heures, trespassa et fina vie...
Seite 481 - ... sont moindres et plus obscurs en bonnes meurs et vertus; et ne reçoivent pourtant nulle vergogne , car ne cognoissent nulle correction sur eux; sont hors de toute répréhension, ce leur samble , et non serfs à nulle loi d'hommes; et se Dieu recognoissoient à desseure de eux pour les jugier , si diffère-il ceste vengeance jusqu'au grand jour, dont l'entre-deux pora porter avis.
Seite 420 - a pleu faire de ly , cela je l'ignore, et fault lais» ser à sa miséricorde et à sa justice ordonner du » cas, et là ne fault nul escrutinement. » Quelle miséricorde fist-il après au roy Ma...
Seite 476 - ... deffendre sa querelle pour la débattre devant juge ou autrement, par la mesme raison de condicion humaine les puissans et forts princes, de leurs difficiles questions qu'ils ont aucune fois ensemble et des quelles ils ne se veulent attendre à jugement d'homme, ne de eux mesmes souvent ne veuillent faire raison , il besongne bien doncques et est excusable que celi qui se sent le plus grevé qu'en nature et autorité de prince, et à qui il duit rebouter force par force , et oppression par puissance...