Oeuvres complètes de Voltaire: Correspondance généraleCarez, Thomine et Fortic, 1822 |
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... Adieu , mon cher confrère ; je n'écris point de ma main je suis aveugle comme votre Bélisaire ; je ré- cite son Credo , mais je ne le commente pas si bien que lui . 7..A M. DAMILAVILLE . aa anguste . Je sais , monsieur , que vous vous ...
... Adieu , mon cher confrère ; je n'écris point de ma main je suis aveugle comme votre Bélisaire ; je ré- cite son Credo , mais je ne le commente pas si bien que lui . 7..A M. DAMILAVILLE . aa anguste . Je sais , monsieur , que vous vous ...
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... Adieu , monsieur ; je suis le plus grand bavard de l'occident . Mille respects à madame la comtesse de Schouvalof . 24.A M. LE MARQUIS D'ARGENCE DE DIRAC . A Ferney 3 * 1 ༡༣ GÉNÉRALE .-— 1787 . Nous avons aussi des troupes dans ce petit ...
... Adieu , monsieur ; je suis le plus grand bavard de l'occident . Mille respects à madame la comtesse de Schouvalof . 24.A M. LE MARQUIS D'ARGENCE DE DIRAC . A Ferney 3 * 1 ༡༣ GÉNÉRALE .-— 1787 . Nous avons aussi des troupes dans ce petit ...
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... Adieu , mon cher ami ; je suis trop malade pour dicter long temps ; mais ne jugez point de mes sen- timents par la brièveté de mes lettres . Faudra - t - il que je meure sans vous revoir ! 27. A M. MOREAU , INSPECTEUR GÉNÉRAL DES ...
... Adieu , mon cher ami ; je suis trop malade pour dicter long temps ; mais ne jugez point de mes sen- timents par la brièveté de mes lettres . Faudra - t - il que je meure sans vous revoir ! 27. A M. MOREAU , INSPECTEUR GÉNÉRAL DES ...
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... Adieu , mon cher ami ; nous sa- vons tous deux combien la vie est peu de chose , et combien les hommes sont méchants . 30.- -- A MME LA MARQUISE DE FLORIAN . A Ferney , le 12 octobre . Il n'y a pas moyen , ma chère nièce , que je vous ...
... Adieu , mon cher ami ; nous sa- vons tous deux combien la vie est peu de chose , et combien les hommes sont méchants . 30.- -- A MME LA MARQUISE DE FLORIAN . A Ferney , le 12 octobre . Il n'y a pas moyen , ma chère nièce , que je vous ...
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... Paris , et que je suis loin de le regretter ! Votre correspondance me tient lieu de tout ce qui m'aurait pu plaire encore dans cette ville . 4 * Comment vos fondants réussissent - ils ? Adieu ; ił GÉNÉRALE . - 1767 . 41.
... Paris , et que je suis loin de le regretter ! Votre correspondance me tient lieu de tout ce qui m'aurait pu plaire encore dans cette ville . 4 * Comment vos fondants réussissent - ils ? Adieu ; ił GÉNÉRALE . - 1767 . 41.
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Adieu affaire aime assez assurément aurait avez barbare beau bonté cent CHABANON cher ami cher ange cher confrère chose cœur comédie COMTE D'ARGENTAL conseil consolation crois DAMILAVILLE Dieu dire donner duc de Choiseul DUC DE RICHELIEU Durancy écrit édition embrasse envoyé êtes fâché fanatisme Ferney fesait flatte François Ier Fréron Genève gens goût Guèbres Henri IV homme honnête imprimé J'ai l'honneur d'être j'en jamais jésuites jouer jours juges Kain l'abbé l'auteur l'Europe lettre livres long-temps Louis XIV Lyon m'avez m'en madame d'Argental madame Denis mademoiselle malade mandé Marc-Michel maréchal MARQUISE DU DEFFANT ment mille monde monseigneur monsieur mont Jura n'ai ouvrage Pandore paquet paraît parlement passer pense personne petit petite philosophe pièce plaisir pourrait président Hénault prêtres prince qu'un raison Richelieu ridicule rien s'il saint sais Sauvigni savez Scythes sentiments sera seul Siècle de Louis Sirven soixante théâtre tion Toulouse tragédie Velches vérité Voilà vois voudrais vrai Zoroastre
Beliebte Passagen
Seite 198 - On articule dans cette Gazette des procédés avec moi dans le séjour qu'il a fait à Ferney. La vérité m'oblige de déclarer que ces bruits sont sans aucun fondement, et que tout cet article est calomnieux d'un bout à l'autre; il est triste qu'on cherche à transformer les nouvelles publiques et d'autres écrits plus sérieux en libelles diffamatoires. Chaque citoyen est intéressé à prévenir les suites d'un abus si funeste à la société. « Fait au château de Ferney, pays de Gex en Bourgogne,...
Seite 272 - C'est une belle nature, mais bien sauvage; nulle régularité, nulle bienséance, nul art, de la bassesse avec de la grandeur, de la bouffonnerie avec du terrible : c'est te chaos de la tragédie, dans lequel il ya cent traits de lumière.
Seite 272 - J'ai été votre apôtre et votre martyr : en vérité, il n'est pas juste que les Anglais se plaignent de moi.
Seite 458 - Quand je vous dis que votre ouvrage est le meilleur qu'on ait fait depuis cinquante ans, je vous dis vrai. Quelques personnes vous reprochent un peu trop de flots d'azur, quelques répétitions, quelques longueurs et souhaiteraient dans les premiers chants, des épisodes plus frappants.
Seite 194 - Denis *, qui avait forcé la nature pour vivre avec moi à la campagne ; il lui fallait des fêtes continuelles pour lui faire supporter l'horreur de mes déserts qui, de l'aveu des Russes, sont pires que la Sibérie pendant cinq mois de l'année. On voit de sa fenêtre...
Seite 288 - Mon cher Marquis, il n'ya rien de bon dans l'athéisme. Ce système est fort mauvais dans le physique et dans le moral. Un honnête homme peut fort bien s'élever contre la superstition et contre le fanatisme; il peut détester la persécution, il rend service au genre humain s'il répand les principes humains de la tolérance; mais quel service peut-il rendre s'il répand l'athéisme?
Seite 559 - Je ne veux pas être le don Quichotte de tous les roués et de tous les pendus. Je ne vois de tous côtés que les injustices les plus barbares. Lally et son bâillon, Sirven, Calas, Martin, le chevalier de La Barre, se présentent quelquefois à moi dans mes rêves. On croit que notre siècle n'est que ridicule, il est horrible.
Seite 571 - Racine et de Molière, parce que, dans ces plats ouvrages d'aujourd'hui, il ya toujours quelques morceaux tirés visiblement des auteurs du règne du bon goût. Nous ressemblons à des voleurs qui changent et qui ornent ridiculement les habits qu'ils ont dérobés, de peur qu'on ne les reconnaisse. A cette friponnerie s'est jointe la rage de la dissertation et celle du paradoxe. Le tout compose une impertinence qui est d'un ennui mortel.