| Roger de Rabutin comte de Bussy - 1720 - 390 Seiten
...prête à mourir l'année paflee, je diiois en voiant fa trifte conv.ilefccnce & fa décrépitude î Mon Dieu ! elle mourra deux fois bien près l'une de l'autre Ne difois- jepa&vrail Un jour Patris étant revenu d'une extrême maladie à quatre -vingt ans, & fe*... | |
| Roger comte de Bussy-Rabutin - 1738 - 398 Seiten
...à mourir l'année pafTée,je difois en voyant fa trille convaD 7 lefcent Lut. L xil. lefcence & fa décrépitude: Mon Dieu! elle mourra deux fois bien près l'une de l'autre. Ne difois-je pas vrai? Un jour Patris étant revenu d'une extrême maladie à quatre-vingts ans , & fes... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1790 - 464 Seiten
...l'autre. Ne disois-jepas vrai ? Un jour Patris étant revenu d'uneextrême maladie à quatre-vingt ans, et ses amis s'en réjouissant avec lui , et le conjurant de se lever : Hélas! Messieurs, leur dit-il, ce n'est pas la peine de se r'habiller. Mon Dieu , mon Cousin , que cette réponse... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1801 - 522 Seiten
...elle. Quand elle fut prête à mourir l'année passée , je disois , en voyant sa triste convalescence et sa décrépitude : Mon Dieu ! elle mourra deux fois bien près l'une de l'autre. Ne disois-je pas vrai ? Un jour Patris étant revenu d'une extrême maladie à quatrevingts ans , et ses... | |
| Jean Baptiste Antoine Suard - 1803 - 426 Seiten
...Quand elle fut près de mou« rir l'année passée, je disais, envoyant « sa triste convalescence et sa décrépitude : « Mon Dieu ! elle mourra deux fois bien « près l'une de l'autre. Ne disais - je pas « vrai ? Un jour Patris étant revenu d'une « grande maladie à quatre - vingts ans... | |
| Jean Baptiste Antoine Suard - 1806 - 408 Seiten
...-je pas « vrai ? Un jour Patris étant revenu d'une « grande maladie à quatre-vingts ans, et « ses amis s'en réjouissant avec lui .et le « conjurant de se lever; hélas! leur dit-il , « est-ce là la peine de se rhabiller ? : « Il n'ya qu'à laisser faire l'esprit hu« main .,- dit-elle ailleurs;... | |
| Marie de Rabutin-Chantal de Sévigné - 1806 - 516 Seiten
...elle. Quand elle fut prête à mourir l'année passée , je disois , en voyant sa triste convalescence et sa décrépitude : Mon Dieu ! elle mourra deux fois bien près l'une de l'autre. Ne disois- je pas vrai ? Un jour Patrix * étant revenu d'une extrême maladie à quatre-vingts ans ,... | |
| 1798 - 436 Seiten
...Quand elle fut » près de mourir l'année passée , je disois , en voyant « sa triste convalescence et sa décrépitude : mon Dieu ! » elle mourra deux fois bien près l'une de l'autre. Ne di)t sois-je pas vrai ? Un jour Patris étant revenu d'une » grande maladie à quatre-vingt ans ,... | |
| Marie de Rabutin-Chantal Sévigné (marq. de.) - 1820 - 600 Seiten
...Quand elle fut près «de mourir l'année passée, je disois, en voyant sa triste « convalescence et sa décrépitude : Mon Dieu ! elle mourra « deux fois bien près l'une de l'autre. Ne disois-je pas vrai ? « Un jour Patris étant revenu d'une grande maladie à qua«tre-vingts ans, et... | |
| Marie de Rabutin-Chantal Sévigné (marq. de.) - 1820 - 498 Seiten
...disois-je pas vrai? Un jour Patrix " étant revenu d'une extrême maladie à quatre-vingts ans, et ses amis s'en réjouissant avec lui, et le conjurant de se lever : « Hélas \ messieurs , leur dit-il , ce n'est pas la peine « de se r'habiller. » Mon Dieu , mon cousin , que... | |
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