Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Volumes 33 à 34Arthur La Broderie, Émile Grimaud J. Forest, aîné, 1905 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 16
Page 31
... sentiment de prédilection pour le lieu qui les vit naître ; mais je crois que les Bretons portent ce sentiment à un plus haut degré qu'aucun autre peuple , du moins si je les juge d'après moi : j'ai du plaisir à son- ger aux lieux où se ...
... sentiment de prédilection pour le lieu qui les vit naître ; mais je crois que les Bretons portent ce sentiment à un plus haut degré qu'aucun autre peuple , du moins si je les juge d'après moi : j'ai du plaisir à son- ger aux lieux où se ...
Page 33
... sentiment qui l'agite , il amène les choses au point qu'il rend tout accommo- dement impossible . « Ainsi le jeune Breton , jeté hors de son pays , soit noble soit bourgeois , porte dans les sociétés où il est reçu cette fatale ...
... sentiment qui l'agite , il amène les choses au point qu'il rend tout accommo- dement impossible . « Ainsi le jeune Breton , jeté hors de son pays , soit noble soit bourgeois , porte dans les sociétés où il est reçu cette fatale ...
Page 126
... sentiment , l'orgueil national s'empara de mon âme ; j'étais fier d'être Français ! O paisibles conquêtes de la littérature ! elles ne disparaissent pas comme celles des destructeurs de l'espèce humaine , qu'on appelle héros : les armes ...
... sentiment , l'orgueil national s'empara de mon âme ; j'étais fier d'être Français ! O paisibles conquêtes de la littérature ! elles ne disparaissent pas comme celles des destructeurs de l'espèce humaine , qu'on appelle héros : les armes ...
Page 127
... sentiment pénible d'une humilité forcée , je me trouvai tellement encouragé par leur bienveillance , que , surtout près de la jeune impératrice , je me crus transporté dans l'une de ces brillantes sociétés de Paris , si communes avant ...
... sentiment pénible d'une humilité forcée , je me trouvai tellement encouragé par leur bienveillance , que , surtout près de la jeune impératrice , je me crus transporté dans l'une de ces brillantes sociétés de Paris , si communes avant ...
Page 151
... sentiment de l'amour - propre paroissial , si tendre , si vivace , si indéfiniss able ; ses morts vivent en commu- nion intime avec lui ; la terre , son moderne clan , lui parait plus fertile qu'en tout autre lieu , l'atmosphère plus ...
... sentiment de l'amour - propre paroissial , si tendre , si vivace , si indéfiniss able ; ses morts vivent en commu- nion intime avec lui ; la terre , son moderne clan , lui parait plus fertile qu'en tout autre lieu , l'atmosphère plus ...
Autres éditions - Tout afficher
Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Volume 19 Arthur La Broderie,Émile Grimaud Affichage du livre entier - 1875 |
Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Volume 1 ;Volume 6 Arthur La Broderie,Émile Grimaud Affichage du livre entier - 1859 |
Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Partie 2 Arthur La Broderie,Émile Grimaud Affichage du livre entier - 1892 |
Expressions et termes fréquents
Andelot Anglais Anne août Arch aultres avaient avril Bain-de-Bretagne Borderie Botrel Bretagne Bretons Calan Cancale capitaine catholique chanoine chapelle chapitre Charles château connétable Cosneau Couppé Courcy Crevain cultivateur d'Ille-et-Vilaine date diocèse domestiques duc d'Etampes Duval église enfants épousa évêque famille femme fille fils Finistère foire François frère gages général Gourcuff Gourin Guérande Guesclin Guillaume heures hommes Ille-et-Vilaine JEAN CHOLEAU Jean de Brosse Jean Jeuland Jeanne Jehan jour journalier agricole journée juillet juin l'abbé l'année l'église Lannion lettre livre Loire-Inférieure Louis maison maître marié mars Martin de Vertou ment ministre mois Morbihan mort Nantes navires noble Normandie nourri paroisse passé pays de Vitré pendant père Pierre poète Pont-Croix Pontivy Port-Blanc porte prêtre prévôt protestantisme protestants Redon région Rennes reste Revue de Bretagne Richemont Rohan saint Martin Saint-Brieuc Saint-Malo Saint-Pol-de-Léon salaire Scaër seigneur septembre sera seulement sieur suivant terre tion travail Tréguier trouve Vannes vicaire XVIIe siècle
Fréquemment cités
Page 350 - Correspondance de Peiresc avec plusieurs missionnaires et religieux de l'ordre des Capucins (Paris, Picard).
Page 180 - Si le ciel m'accorde un repos que je n'ai jamais goûté, je tâcherai d'élever en silence un monument à ma patrie ; si la Providence me refuse ce repos, je ne dois songer qu'à mettre mes derniers jours à l'abri des soucis qui ont empoisonné les premiers. Je ne suis plus jeune, je n'ai plus l'amour du bruit; je sais que les lettres, dont le commerce est si doux quand il est secret, ne nous attirent au dehors que des orages. Dans tous les cas, j'ai assez écrit si mon nom doit vivre; beaucoup...
Page 133 - J'ai vu tomber ce fier vainqueur ; Le sang a baigné son armure: Mais toujours fidèle à l'honneur, II dit, en montrant sa blessure : Soldats français ! chantez Roland, Son destin est digne d'envie ; Heureux qui peut, en combattant, Vaincre et mourir pour sa patrie.
Page 413 - Le trait caractéristique de la race bretonne, à tous ses degrés, est l'idéalisme, la poursuite d'une fin morale ou intellectuelle, souvent erronée, toujours désintéressée. Jamais race ne fut plus impropre à l'industrie, au commerce. On obtient tout d'elle par le sentiment de l'honneur ; ce qui est lucre lui...
Page 54 - Sur la requête présentée au Roy étant en son conseil par les prévôt, chanoines et chapitre de l'église royale, collégiale et paroissiale de Saint-Aubin de Guérande...
Page 132 - C'est Roland, ce foudre de guerre; S'il combat, la faux de la mort Suit les coups de son cimeterre. Soldats français, chantons Roland, L'honneur de la chevalerie, Et répétons, en combattant, Ces mots sacrés : Gloire et patrie...
Page 133 - C'est le cri du soldat sans gloire ; Le héros cherche les périls ; Sans les périls qu'est la victoire ? Ayons tous, ô braves amis, De Roland l'âme noble et fière.
Page 132 - Où vont tous ces preux chevaliers, L'orgueil et l'espoir de la France?.. C'est pour défendre nos foyers Que leur main a repris la lance ; Mais le plus brave, le plus fort, C'est Roland, ce foudre de guerre; S'il combat, la faulx de la mort Suit les coups de son cimeterre.
Page 230 - Doué, va sicourit da dremen ar Raz : Rac va lestr a zo bian ac ar mor a zo bras ! « Mon Dieu, secourez-moi au passage du Raz — car ma barque est petite et la mer grande 3. » Il y avait aussi d'autres oraisons, dont l'une s'adressait à sainte Anne; devant la pointe Saint-Nicolas, à l'entrée du Morbihan, on chantait l' Ave maris strlla, en implorant la protection de saint Nicolas.
Page 379 - Il n'entre pas dans le cadre de cette étude de raconter les phases des opérations militaires.