Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Volumes 33 à 34

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Arthur La Broderie, Émile Grimaud
J. Forest, aîné, 1905

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Fréquemment cités

Page 350 - Correspondance de Peiresc avec plusieurs missionnaires et religieux de l'ordre des Capucins (Paris, Picard).
Page 180 - Si le ciel m'accorde un repos que je n'ai jamais goûté, je tâcherai d'élever en silence un monument à ma patrie ; si la Providence me refuse ce repos, je ne dois songer qu'à mettre mes derniers jours à l'abri des soucis qui ont empoisonné les premiers. Je ne suis plus jeune, je n'ai plus l'amour du bruit; je sais que les lettres, dont le commerce est si doux quand il est secret, ne nous attirent au dehors que des orages. Dans tous les cas, j'ai assez écrit si mon nom doit vivre; beaucoup...
Page 133 - J'ai vu tomber ce fier vainqueur ; Le sang a baigné son armure: Mais toujours fidèle à l'honneur, II dit, en montrant sa blessure : Soldats français ! chantez Roland, Son destin est digne d'envie ; Heureux qui peut, en combattant, Vaincre et mourir pour sa patrie.
Page 413 - Le trait caractéristique de la race bretonne, à tous ses degrés, est l'idéalisme, la poursuite d'une fin morale ou intellectuelle, souvent erronée, toujours désintéressée. Jamais race ne fut plus impropre à l'industrie, au commerce. On obtient tout d'elle par le sentiment de l'honneur ; ce qui est lucre lui...
Page 54 - Sur la requête présentée au Roy étant en son conseil par les prévôt, chanoines et chapitre de l'église royale, collégiale et paroissiale de Saint-Aubin de Guérande...
Page 132 - C'est Roland, ce foudre de guerre; S'il combat, la faux de la mort Suit les coups de son cimeterre. Soldats français, chantons Roland, L'honneur de la chevalerie, Et répétons, en combattant, Ces mots sacrés : Gloire et patrie...
Page 133 - C'est le cri du soldat sans gloire ; Le héros cherche les périls ; Sans les périls qu'est la victoire ? Ayons tous, ô braves amis, De Roland l'âme noble et fière.
Page 132 - Où vont tous ces preux chevaliers, L'orgueil et l'espoir de la France?.. C'est pour défendre nos foyers Que leur main a repris la lance ; Mais le plus brave, le plus fort, C'est Roland, ce foudre de guerre; S'il combat, la faulx de la mort Suit les coups de son cimeterre.
Page 230 - Doué, va sicourit da dremen ar Raz : Rac va lestr a zo bian ac ar mor a zo bras ! « Mon Dieu, secourez-moi au passage du Raz — car ma barque est petite et la mer grande 3. » Il y avait aussi d'autres oraisons, dont l'une s'adressait à sainte Anne; devant la pointe Saint-Nicolas, à l'entrée du Morbihan, on chantait l' Ave maris strlla, en implorant la protection de saint Nicolas.
Page 379 - Il n'entre pas dans le cadre de cette étude de raconter les phases des opérations militaires.

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