Pages. Le comte d'Halville, d'une très - ancienne maison de la Suisse, arrête les propos légers d'un garde-du-corps envers la noblesse de son pays. Mot de Louis XV, qui prouve que les parlemens n'auraient jamais obtenu son consentement pour la convocation des États-Généraux. Causes naturelles de la mort du dauphin, père de Louis XVI, et de la dauphine, princesse saxonne, en réponse à tous les bruits d'empoisonnemens répandus par Soulavie. Anecdotes relatives à Marie Leckzinska. Marie Leckzinska devait épouser le duc d'Estrées. Mot Son portrait. — Elle Douleur que ressent la reine lors de la nomination de madame Le Normand d'Étioles, marquise de Pompadour, à la place de dame de son palais. Éloges humilians qu'elle accorde à la beauté de la marquise, et petite vengeance qu'en tire celle-ci, sans blesser le respect qu'elle devait à la reine. Réponse d'une ambassadrice à la reine qui lui avait fait Marie Leckzinska passait pour avoir de grands talens. 47 49 50 57 59 63 68 dant aux eaux.—Le cardinal de Luynes, dans sa vieillesse, avait l'habitude de débiter ses homélies dès cinq heures du matin, à la paroisse de Fontainebleau. Préventions de la reine contre la princesse de Saxe, qui avait épousé le dauphin en secondes noces. La princesse de Tallard, gouvernante des enfans de France, Courage et gaieté que montre Stanislas Leckzinski, lors de Anecdotes du règne de Louis XVI. La reine Marie-Antoinette va visiter à Marly une personne qu'on croyait d'un haut rang, et qui s'était retirée dans une chaumière.— Ce qu'était cette femme. faire secouer Moyens employés par l'abbé de Vermond pour Pages. 7༠ 76 77 77 79 80 85 87 Le théâtre était à la cour le fond de toutes les conversations. 88 Madame Louise, dans sa retraite, se livrait aux intrigues du clergé. 89 Motifs de l'inimitié qui s'était établie entre la reine et madame de Genlis. 90 Douleur du roi à la mort de M. de Maurepas. Il avait le mérite de dérober la faiblesse du caractère de Louis XVI aux yeux de l'Europe entière. Reconnaissance des Parisiens pour les secours qui leur sont accordés par le roi et la reine dans l'hiver de 1788. 91 93 Pages. Dès l'âge de vingt-cinq ans, la reine ne se livrait plus à la parure, excepté les jours de grande réunion à la cour, et les jours de cérémonies. Fausse démarche de M. Augeard, secrétaire des commandemens de la reine et fermier-général, qui fit croire que cette princesse disposait de tous les emplois de finance.- - La reine en est affligée, et fait rendre justice à des particuliers qui avaient réclamé auprès d'elle plusieurs de ces emplois qui leur étaient dus. 97 99 100 La reine se fait la protectrice du chevalier d'Orville qui sollicitait en vain dépuis quatre ans, auprès du ministre de la guerre, une place de major ou de lieutenant de roi. Mot plein de sensibilité adressé par la reine à M. Loustonneau, lorsqu'il fut nommé premier chirurgien du roi. 102 Appréhensions de la reine lors de la convocation des ÉtatsGénéraux. Extrait des différentes lettres de madame Campan, première femme de chambre de la reine, du 5 octobre au 31 décembre 1789. Opinion de la reine sur la noblesse. 104 106 [II Fautes politiques qui ont amené la révolution française. 112 Contestation entre l'empereur Joseph II et les Provinces- 121 Anecdotes diverses. La femme de Lamotte a causé en grande partie les malheurs de Marie-Antoinette.-Effronterie d'une jeune fille qui prétendait avoir été séduite par M. Baret, curé de SaintLouis. L'abbé de cour. 127 132 Pages. Sur la cour. 133 Réponse à M. Lacretelle le jeune, au sujet de son ouvrage. 136 Sur un portrait de Marie-Thérèse. 140 Pour mon fils. (Le 6 brumaire an v de la république, 29 no vembre 1797.) A Saint-Germain-en-Laye. 141 Pour mon fils sa famille maternelle. 147 Fragment d'une lettre de madame Campan à son fils. 156 Quelques notes sur sa conduite auprès de la reine. 159 |