Revue de Paris, Band 3Demengeot & Goodman, e.a., 1850 |
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... théâtre . Le cabaret avait pour lui des charmes auxquels il ne pou- vait pas résister . Les maladies , la pauvreté , l ... théâtres ; encore le peu qu'il attrapait ainsi était - il dépensé suivant le même sys- tème . Je l'avais perdu de ...
... théâtre . Le cabaret avait pour lui des charmes auxquels il ne pou- vait pas résister . Les maladies , la pauvreté , l ... théâtres ; encore le peu qu'il attrapait ainsi était - il dépensé suivant le même sys- tème . Je l'avais perdu de ...
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... théâtre du faubourg , pour lequel j'avais un court engagement . La toile était tom- bée ; j'étais habillé pour m'en aller , et je traversais la scène , quand il me frappa sur l'épaule . Non , jamais je n'oublierai la figure repoussante ...
... théâtre du faubourg , pour lequel j'avais un court engagement . La toile était tom- bée ; j'étais habillé pour m'en aller , et je traversais la scène , quand il me frappa sur l'épaule . Non , jamais je n'oublierai la figure repoussante ...
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... théâtre , et ces objets composaient seuls l'ameublement de la chambre , si l'on excepte deux ou trois petits paquets de haillons , jetés en désordre dans les coins . Tandis que je considérais cette scène de désolation , et que je ...
... théâtre , et ces objets composaient seuls l'ameublement de la chambre , si l'on excepte deux ou trois petits paquets de haillons , jetés en désordre dans les coins . Tandis que je considérais cette scène de désolation , et que je ...
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... théâtre et le cabaret étaient les principaux sujets de divagation de ce malheureux . Dans son délire , il s'imaginait qu'il avait un rôle à jouer cette nuit même , qu'il était tard et qu'il devait quitter la maison sur - le - champ ...
... théâtre et le cabaret étaient les principaux sujets de divagation de ce malheureux . Dans son délire , il s'imaginait qu'il avait un rôle à jouer cette nuit même , qu'il était tard et qu'il devait quitter la maison sur - le - champ ...
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... théâtre romain . Là , sous des arcades de pampres ou des berceaux de jasmin d'Espagne , on admirait le gracieux autel de la bonne déesse , les formes rebondies de Silène , la face impériale d'Auguste et la svelte élégance de ces ...
... théâtre romain . Là , sous des arcades de pampres ou des berceaux de jasmin d'Espagne , on admirait le gracieux autel de la bonne déesse , les formes rebondies de Silène , la face impériale d'Auguste et la svelte élégance de ces ...
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Häufige Begriffe und Wortgruppen
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Beliebte Passagen
Seite 247 - ... ne te reverrai jamais. Dieu passe, il t'appelle et m'oublie ; En te perdant, je sens que je t'aimais. Pas de pleurs, pas de plainte vaine Je sais respecter l'avenir. Vienne la voile qui t'emmène, En souriant je la verrai partir. Tu t'en vas pleine d'espérance, Avec orgueil tu reviendras; Mais ceux qui vont souffrir de ton absence, Tu ne les reconnaîtras pas. Adieu ! tu vas faire un beau rêve, Et t'enivrer d'un plaisir dangereux; Sur ton chemin l'étoile qui se lève Longtemps encore éblouira...
Seite 248 - Si je vous le disais pourtant, que je vous aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? 1837"'.
Seite 168 - Pradt en personne, qui avait daigné monter quatre étages , et qui venait me donner une leçon dans mon réduit plus que modeste. La leçon fut longue , elle fut sévère ; mais cependant elle commença par une exposition pleine de modération et même de douceur. Plusieurs fois je voulus placer quelques mots dans les courts intervalles de l'homélie ; mais d'un léger signe de la main M. de Pradt me forçait au silence ; et ce signe était encore si paternel , que je crus recevoir la bénédiction.
Seite 239 - Ne défendons plus la religion sous le rapport de l'utilité dont elle est, soit à l'homme, soit à la société; c'est un vrai blasphème qui a été trop souvent reproduit. Ne demandons point pour elle l'appui des institutions politiques; ce serait avoir des doutes impies sur sa stabilité. N'exigeons point non plus qu'elle vienne au secours de ces institutions, parceque nous pourrions l'accuser de leur chute lorsque le moment de la caducité serait venu.
Seite 156 - Un homme puissant replaçait sur ses bases l'ordre social et politique. Toutes les fois qu'après un long bouleversement l'ordre politique se répare et reprend sa marche régulière, l'ordre littéraire tend à se mettre en accord et à suivre de son mieux. La critique (quand critique il ya) , à l'abri d'un pouvoir tutélaire, accomplit son œuvre et sert la restauration commune. Sous Henri IV, après la Ligue , on eut Malherbe ; sous Louis XIV , après la Fronde, on eut Boileau. En 1 800, après...
Seite 153 - M do ce mois est mort, à l'âge de quatre-vingttrois ans accomplis, un vieillard aimable, spirituel , qui recouvrait, sous les formes d'une politesse exquise et d'une parfaite urbanité mondaine, un caractère ferme , des opinions nettes et constantes , bien de la philosophie pratique ; un sage et un heureux qui avait conservé à travers les habitudes du critique, et avec un esprit volontiers piquant, un cœur bienveillant et chaud, une extrême délicatesse dans l'amitié. M. de Feletz me représentait...
Seite 247 - Adieu ! je crois qu'en cette vie Je ne te reverrai jamais. Dieu passe, il t'appelle et m'oublie; En te perdant, je sens que je t'aimais. Pas de pleurs, pas de plainte vaine. Je sais respecter l'avenir. Vienne la voile qui t'emmène, En souriant je la verrai partir. Tu t'en vas pleine d'espérance, Avec orgueil tu reviendras; Mais ceux qui vont souffrir de ton absence, Tu ne les reconnaîtras pas. Adieu ! tu vas faire un beau rêve, Et t'enivrer d'un plaisir dangereux; Sur ton chemin l'étoile qui...
Seite 170 - Ses connaissances théologiques et philosophiques le rendaient capable aussi d'aborder, à l'occasion, des sujets sérieux. Il touchait à tout ; ce qu'il n'approfondissait pas, il l'effleurait non sans malice. Sa politesse extrême, que ses nombreuses relations entouraient de mille liens, n'empêchait pas la raillerie, quand elle avait à sortir, de se glisser dans ses articles je ne sais comment, dans le tour, dans la réticence ; il faisait entendre ce qu'il ne disait pas.
Seite 155 - J'oserai dire que le critique n'est que le secrétaire du public, mais un secrétaire qui n'attend pas qu'on lui dicte, et qui devine, qui démêle et rédige chaque matin la pensée de tout le monde.
Seite 157 - Berlin, comptait parmi ses rédacteurs Geoffroy, Dussault, Feletz, Delalot, Saint-Victor, l'abbé de Boulogne. Vers le même temps, au Mercure et dans une alliance étroite avec le Journal des Débats, écrivaient la Harpe, l'abbé de Vauxcelles, Fiévée, Michaud, Gueneau de Mussy, Fontanes, Bonald, Chateaubriand. Dans les rangs opposés, on comptait Rœderer au Journal de Paris; M. Suard et un jeune talent viril, mademoiselle de Meulan (depuis madame Guizot), au Publiciste; Ginguené et ses amis...