Revue de Paris, Band 3Demengeot & Goodman, e.a., 1850 |
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... présent de Féral , et , le portant à ses lèvres : -On prétend , murmura - t - elle , que tu romps l'ami- tié ; Pascoulette me l'a dit ; je n'en ai rien cru ; car , depuis que tu me fus offert , celui que j'aime 26 REVUE DE PARIS . 26.
... présent de Féral , et , le portant à ses lèvres : -On prétend , murmura - t - elle , que tu romps l'ami- tié ; Pascoulette me l'a dit ; je n'en ai rien cru ; car , depuis que tu me fus offert , celui que j'aime 26 REVUE DE PARIS . 26.
Seite 125
... présent , je suis certain de mon bonheur . J'irai en France ... J'irai frapper à la porte de cette petite maison où vous avez laissé mademoiselle de Nanteuil ... Vous figurez - vous cette entrevue ? Ah ! il ne faut pas que j'y songe en ...
... présent , je suis certain de mon bonheur . J'irai en France ... J'irai frapper à la porte de cette petite maison où vous avez laissé mademoiselle de Nanteuil ... Vous figurez - vous cette entrevue ? Ah ! il ne faut pas que j'y songe en ...
Seite 141
... présent que l'île de Java est l'endroit le plus malsain de l'univers ! « Le digne capitaine ne put contenir tout à fait ses impressions . « M. le commandant , s'écria - t - il en me regardant d'un air significatif , vous voyez un homme ...
... présent que l'île de Java est l'endroit le plus malsain de l'univers ! « Le digne capitaine ne put contenir tout à fait ses impressions . « M. le commandant , s'écria - t - il en me regardant d'un air significatif , vous voyez un homme ...
Seite 234
... présent que nous fardons . Il sent que nous devons être de mauvais instruments pour restaurer une théocratie , et que nous ne pouvons concourir sans mensonge à une œuvre à laquelle nous ne croyons pas . Et encore s'il ne s'agissait que ...
... présent que nous fardons . Il sent que nous devons être de mauvais instruments pour restaurer une théocratie , et que nous ne pouvons concourir sans mensonge à une œuvre à laquelle nous ne croyons pas . Et encore s'il ne s'agissait que ...
Seite 281
... présent est épuisé , l'avenir est sans ressources , que l'acteur à jeun jette encore aux échos de la salle déserte la tirade et le couplet : le théâtre ne ferme définitivement ses portes que quand il n'a plus de portier pour les ouvrir ...
... présent est épuisé , l'avenir est sans ressources , que l'acteur à jeun jette encore aux échos de la salle déserte la tirade et le couplet : le théâtre ne ferme définitivement ses portes que quand il n'a plus de portier pour les ouvrir ...
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Seite 247 - ... ne te reverrai jamais. Dieu passe, il t'appelle et m'oublie ; En te perdant, je sens que je t'aimais. Pas de pleurs, pas de plainte vaine Je sais respecter l'avenir. Vienne la voile qui t'emmène, En souriant je la verrai partir. Tu t'en vas pleine d'espérance, Avec orgueil tu reviendras; Mais ceux qui vont souffrir de ton absence, Tu ne les reconnaîtras pas. Adieu ! tu vas faire un beau rêve, Et t'enivrer d'un plaisir dangereux; Sur ton chemin l'étoile qui se lève Longtemps encore éblouira...
Seite 248 - Si je vous le disais pourtant, que je vous aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? 1837"'.
Seite 168 - Pradt en personne, qui avait daigné monter quatre étages , et qui venait me donner une leçon dans mon réduit plus que modeste. La leçon fut longue , elle fut sévère ; mais cependant elle commença par une exposition pleine de modération et même de douceur. Plusieurs fois je voulus placer quelques mots dans les courts intervalles de l'homélie ; mais d'un léger signe de la main M. de Pradt me forçait au silence ; et ce signe était encore si paternel , que je crus recevoir la bénédiction.
Seite 239 - Ne défendons plus la religion sous le rapport de l'utilité dont elle est, soit à l'homme, soit à la société; c'est un vrai blasphème qui a été trop souvent reproduit. Ne demandons point pour elle l'appui des institutions politiques; ce serait avoir des doutes impies sur sa stabilité. N'exigeons point non plus qu'elle vienne au secours de ces institutions, parceque nous pourrions l'accuser de leur chute lorsque le moment de la caducité serait venu.
Seite 156 - Un homme puissant replaçait sur ses bases l'ordre social et politique. Toutes les fois qu'après un long bouleversement l'ordre politique se répare et reprend sa marche régulière, l'ordre littéraire tend à se mettre en accord et à suivre de son mieux. La critique (quand critique il ya) , à l'abri d'un pouvoir tutélaire, accomplit son œuvre et sert la restauration commune. Sous Henri IV, après la Ligue , on eut Malherbe ; sous Louis XIV , après la Fronde, on eut Boileau. En 1 800, après...
Seite 153 - M do ce mois est mort, à l'âge de quatre-vingttrois ans accomplis, un vieillard aimable, spirituel , qui recouvrait, sous les formes d'une politesse exquise et d'une parfaite urbanité mondaine, un caractère ferme , des opinions nettes et constantes , bien de la philosophie pratique ; un sage et un heureux qui avait conservé à travers les habitudes du critique, et avec un esprit volontiers piquant, un cœur bienveillant et chaud, une extrême délicatesse dans l'amitié. M. de Feletz me représentait...
Seite 247 - Adieu ! je crois qu'en cette vie Je ne te reverrai jamais. Dieu passe, il t'appelle et m'oublie; En te perdant, je sens que je t'aimais. Pas de pleurs, pas de plainte vaine. Je sais respecter l'avenir. Vienne la voile qui t'emmène, En souriant je la verrai partir. Tu t'en vas pleine d'espérance, Avec orgueil tu reviendras; Mais ceux qui vont souffrir de ton absence, Tu ne les reconnaîtras pas. Adieu ! tu vas faire un beau rêve, Et t'enivrer d'un plaisir dangereux; Sur ton chemin l'étoile qui...
Seite 170 - Ses connaissances théologiques et philosophiques le rendaient capable aussi d'aborder, à l'occasion, des sujets sérieux. Il touchait à tout ; ce qu'il n'approfondissait pas, il l'effleurait non sans malice. Sa politesse extrême, que ses nombreuses relations entouraient de mille liens, n'empêchait pas la raillerie, quand elle avait à sortir, de se glisser dans ses articles je ne sais comment, dans le tour, dans la réticence ; il faisait entendre ce qu'il ne disait pas.
Seite 155 - J'oserai dire que le critique n'est que le secrétaire du public, mais un secrétaire qui n'attend pas qu'on lui dicte, et qui devine, qui démêle et rédige chaque matin la pensée de tout le monde.
Seite 157 - Berlin, comptait parmi ses rédacteurs Geoffroy, Dussault, Feletz, Delalot, Saint-Victor, l'abbé de Boulogne. Vers le même temps, au Mercure et dans une alliance étroite avec le Journal des Débats, écrivaient la Harpe, l'abbé de Vauxcelles, Fiévée, Michaud, Gueneau de Mussy, Fontanes, Bonald, Chateaubriand. Dans les rangs opposés, on comptait Rœderer au Journal de Paris; M. Suard et un jeune talent viril, mademoiselle de Meulan (depuis madame Guizot), au Publiciste; Ginguené et ses amis...