Revue des deux mondes, Band 1;Band 13;Band 28;Band 120Au bureau de la Revue des deux mondes., 1858 |
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permission de descendre à terre . Le soir venu , il se dirigeait en toute hâte vers le quai , où l'attendait l'embarcation qui devait le ra- mener à bord , lorsqu'il entendit sonner l'Angelus . A ce signal , il était alors d'usage dans ...
permission de descendre à terre . Le soir venu , il se dirigeait en toute hâte vers le quai , où l'attendait l'embarcation qui devait le ra- mener à bord , lorsqu'il entendit sonner l'Angelus . A ce signal , il était alors d'usage dans ...
Seite 21
... soir , nous laissions tomber l'ancre ; dans la journée , pendant que les corvettes louvoyaient d'une rive à l'autre , nos embarcations nous suivaient à la remorque . De temps en temps on les envoyait jeter la seine au fond de quelque ...
... soir , nous laissions tomber l'ancre ; dans la journée , pendant que les corvettes louvoyaient d'une rive à l'autre , nos embarcations nous suivaient à la remorque . De temps en temps on les envoyait jeter la seine au fond de quelque ...
Seite 73
... soir la meilleure amie que j'aie eue , la bonne Judith , avec qui je finis mes jours , s'amuse à me tirer les cartes et me prédit une lettre qui doit me combler de joie . Malgré mon peu de foi dans la science de M Lenormand , j'éprouve ...
... soir la meilleure amie que j'aie eue , la bonne Judith , avec qui je finis mes jours , s'amuse à me tirer les cartes et me prédit une lettre qui doit me combler de joie . Malgré mon peu de foi dans la science de M Lenormand , j'éprouve ...
Seite 118
... l'autre bout de la ville . Quand Made- leine sonnait à la porte , c'était fête au logis . On n'y travaillait plus . Les seules distractions du père Noël consistaient en longues • promenades , qu'il faisait seul le soir sur les.
... l'autre bout de la ville . Quand Made- leine sonnait à la porte , c'était fête au logis . On n'y travaillait plus . Les seules distractions du père Noël consistaient en longues • promenades , qu'il faisait seul le soir sur les.
Seite 119
... soir . Trois fois par semaine , l'organiste tra- vaillait avec Urbain , à qui il enseignait la composition . De gros vieux bouquins et des cahiers de musique encombraient le parquet ces jours - là . Ces leçons mettaient le père Noël en ...
... soir . Trois fois par semaine , l'organiste tra- vaillait avec Urbain , à qui il enseignait la composition . De gros vieux bouquins et des cahiers de musique encombraient le parquet ces jours - là . Ces leçons mettaient le père Noël en ...
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anglaise Armero arriver assez aujourd'hui avaient baie baron Batavia bâtimens batteries flottantes Béranger Béru bientôt bord bouddhisme brahmanes C'était campagne caractère Cassius cher chose cœur comte corvettes côté coup d'Urbain Decamps devant Dévastation Dieu dire dit-il donner doute Durance Émile Augier enfans eût femme force Grande-Bretagne Great-Eastern heures heureux homme houille îles j'ai j'étais jamais Java jeune fille jour Kervey Kinburn Krichna l'amiral l'Angleterre l'esprit l'île l'Inde l'industrie laisser Laluzerte Laverdure lignite Louise Lucknow Madeleine main Manoela marin Marmande Mathura Mauvoisis ment mère mille millions monde n'avait n'était navire nuit officiers parler passé passions pauvre pays pensée père Noël peuple politique porte pouvait premier presque presse protestantisme qu'un race regard religieuse reprit reste rien Russie s'est s'était sais Saxons scène semble sentimens sentiment serait seul siècle soir sorte Suède suédois surtout Tasman Tengger terre théâtre tion triste trouve Truite Urbain voix volcans Vrindavan yeux
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Seite 185 - Mon Dieu! que votre esprit est d'un étage bas! Que vous jouez au monde un petit personnage , De vous claquemurer aux choses du ménage, Et de n'entrevoir point de plaisirs plus touchants Qu'une idole d'époux et des marmots d'enfants! Laissez aux gens grossiers, aux personnes vulgaires, Les bas amusements de ces sortes d'affaires. A de plus hauts objets...
Seite 79 - ... faire. Il avait bâillonné la presse, ôté au peuple toute intervention libre dans les affaires, et laissé s'effacer ainsi les principes que notre Révolution nous avait inculqués : il en était résulté l'engourdissement profond des sentiments qui nous sont les plus naturels. Sa fortune nous tint longtemps lieu de patriotisme; mais, comme il avait absorbé toute la nation en lui, avec lui la nation tomba tout entière, et, dans notre chute, nous ne sûmes plus être devant nos ennemis que...
Seite 647 - Je travaillai volontiers dans les commencements. Malheureusement , le maître , bon et indulgent , absorbé d'ailleurs par ses travaux , était peu propre à me faire comprendre l'utilité , l'importance même des études, dont je n'apercevais guère que la monotonie. Le dégoût me vint, et je quittai l'atelier. — J'essayai chez moi quelques petits tableaux : on me les acheta, et dès Jors mon éducation de peintre fut manquée.
Seite 647 - Bouchot me donna quelques bons avis ; je lui dois des observations utiles ; j'appris chez lui un peu de géométrie, d'architecture et de perspective. Je le quittai néanmoins, et fus reçu dans l'atelier de M. Abel de Pujol , que son bon tableau du Martyre de saint Etienne venait de placer au rang de nos meilleurs peintres. — Je travaillai volontiers dans les commencements. Malheureusement, le maître, bon et indulgent, absorbé d'ailleurs par ses travaux, était peu propre à me faire comprendre...
Seite 489 - Ah , le bel emploi pour votre historien ! Il ya trois cents ans que les rois de France n'ont rien fait de si glorieux. Je suis fou de joie ! Bonsoir, monseigneur.
Seite 664 - Je vous ai parlé des Cimbres parce que ce sujet est caractéristique de la voie que je comptais suivre ; mais le peu d'encouragement que je trouvai d'abord, le caprice , le désir de plaire à tous, que sais-je encore? m'en ont plus ou moins détourné. — Je demeurai claquemuré dans mon atelier, puisque nul ne prenait l'initiative de m'en ouvrir les portes; et, malgré ma répugnance primitive, je fus condamné au tableau de chevalet à perpétuité. Je vis avec chagrin tous mes confrères chargés...
Seite 675 - La Spéculation n'est autre chose que la conception intellectuelle des différents procédés par lesquels le travail, le crédit, le transport, l'échange, peuvent intervenir dans la production. C'est elle qui recherche et découvre pour ainsi dire les gisements de la richesse, qui invente les moyens les plus économiques de se la procurer, qui la multiplie...
Seite 470 - L'ennui a subi une transformation, comme toute chose autour de nous; il eût été fort singulier en effet que lui seul n'eût pas changé, et que dans notre société matérialiste il 'eût gardé ses délicatesses de dilettante , de touriste grand seigneur et de poète allemand. Au commencement de notre siècle, l'ennui fut presque une religion ; il se confondit avec une noble inquiétude des choses éternelles; il cherchait, il rêvait; que dis-je? il osait même espérer. Aujourd'hui l'ennui...
Seite 40 - L'air en est embaumé , et ou dirait que les ailes des vents en sont appesanties , tant la brise dans ces parages est ordinairement tiède et paresseuse. Les oiseaux , les insectes , les reptiles , les poissons même sous l'eau transparente où l'œil peut les suivre , les coquilles et les madrépores sur leur tapis de sable , tout a le doux éclat de la fleur , les feux de l'émeraude et du rubis; tout reflète ou la verdure des bois ou les nuances changeantes du jour. C'est surtout au moment où...
Seite 73 - L'horreur du scandale est un sentiment fort respectable, et qu'on ne doit pas réserver seulement pour sa vieillesse. Béranger est décidément trop parfait ; on lui souhaiterait presque quelque défaut bien accentué. Que de sagesse, bon Dieu, que de modestie, que de modération! Franchement il serait bien plus intéressant s'il était un peu moins sage. Ma conclusion, après avoir lu la Biographie, c'est qu'il n'a manqué qu'une chose à Béranger : un atome d'imprudence.