Histoire de la Confédération Suisse, Band 4

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Th. Ballimore, 1838 - 19 Seiten
 

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Seite 185 - ... savants cardinaux et les prélats se disposèrent à conquérir, à force de sagacité philosophique, de profond savoir et d'énergique éloquence, une gloire universelle aux yeux de toute l'Église chrétienne. Beaucoup de gens accoururent comme à un spectacle que ni eux ni leurs ancêtres n'avaient jamais vu. L'Europe était dans l'attente ; les amis du bien chez tous les peuples faisaient des vœux : les uns se préparaient à une sérieuse réforme de l'Église, d'autres a des subterfuges...
Seite 167 - Qu'il n'en soit pas de même parmi vous ; mais que celui qui est le plus grand parmi vous de vienne comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert.
Seite 310 - Nous avons connu la charité de Jésus-Christ., en ce qu'il a donné sa vie pour nous, nous devons donc aussi donner notre vie pour nos frères : imitation de son dévouement.
Seite 177 - Fill high the sparkling bowl, The rich repast prepare ; Reft of a crown, he yet may share the feast : Close by the regal chair Fell Thirst and Famine scowl A baleful smile upon their baffled guest. Heard ye the din of battle bray, Lance to lance, and horse to horse ? Long years of havoc urge their destined course, And thro' the kindred squadrons mow their way.
Seite 184 - ... 1 La cité choisie vit arriver d'Italie, de France, d'Allemagne, d'Angleterre, de Suède, de Danemark, de Pologne, de Hongrie, de Bohême et même de Constantinople, des députés qu'envoyaient les empereurs, les rois, les princes, les villes, les églises et les universités.
Seite 17 - MARCHE. signeur de Pesmes : lequel estoit parent des plus grands signeurs de Bourgongne, et de ces sugets du duc, à qui il escrivoit cousin. Vaillant chevalier estoit, et bien renommé, et aymé entre les gens-d'armes de Bourgongne, et fit en son temps de grands services au duc, et à ses païs. Mais, pour revenir à la question et au debat des deux chevaliers...
Seite 14 - Savoie se leva après ce discours, s'inclina en faisant le signe de la croix , et dit : Au nom du Père, du Fils et du Saint- Esprit, amen!
Seite 10 - Grandson , dit-il , s'éprit d'un fatal amour pour Catherine de Belp, épouse du sire Gérard d'Estavayer, et satisfit sa passion avec ou sans le consentement de cette dame.
Seite 394 - Réformation, se montrèrent amimés, malheureusement, d'un esprit tout opposé. » Ce bon vieil historien, Jean de Muller, n'osa pas, dans le temps où il vivait, philosophe et Réformé comme il avait le malheur de l'être , déclarer à quoi tenait la décadence visible de sa patrie.
Seite 12 - Grandson fit le signe de la croix et parla en ces termes : « Au nom de la très-sainte Trinité, de sainte » Anne et de sa « benoîte lignée, » l'homme ici pré» sent, Gérard d'Estavayer, je le déclare menteur.

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