Histoire de la république de Venise, Band 9

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chez N.B. Duchesne, 1766
 

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Beliebte Passagen

Seite 74 - François, & auroit la liberté de fe retirer où bon lui fembleroit, pourvu que ce ne fût point dans le' royaume de, Naples : on convint encore qu'il pourroit retirer du château neuf & du château de l'Œuf tout ce qu'il jugeroit à propos , à l'exception de l'artillerie du roi Charles VIII. A ces conditions, Frédéric eut la liberté de fe réfugier dans...
Seite 538 - Naples de Romanie , toutes les îles de l'Archipel possédées par la république. Après beaucoup d'entrevues et de conférences , la paix fut conclue, moyennant la cession des deux villes ci-dessus , et une somme de trois cent mille ducats , payable en trois ans , pour les frais de la guerre. La paix était vivement désirée à Venise ; mais on souhaitait des conditions honorables , et...
Seite 196 - Il entra en Provence à la tête de quinze mille hommes de pied & de deux mille chevaux : il s'engagea au...
Seite 537 - ... dont la principale étoit lareftitution du Milanois. Mais CharlesQuint ne fut pas plutôt forti de France qu'il fe joua de la franchife du Roi , & ne tint rien de ce qu'il lui avoit promis. Louis Badouer arriva à Conftanti- yé^crl...
Seite 447 - Soliman occupé au fiege de Babylone , n'avoit point de diverfion à faire qui pût croifer l'entreprile de l'Empereur , pour rendre Tunis à fon premier maître. Dès les premiers jours du printems, ce Prince s'embarqua à Barcelone. Sa flotte , commandée par André Doria, étoit forte de trois cents voiles , & portoit quarante mille hommes de troupes de débarquement : elle, dirigea fa route fur la Sardaigne , & mouilla au port de Caglïari.
Seite 239 - D'une part , le Roi de France fon Prifonnier , lui donnoit la facilité de mettre pour prix à fa rançon , la ceffion du Duché de Bourgogne , ancien Patrimoine de fon Ayeule maternelle , ce qui ouvroit tout le Royaume de France à fes entreprifes ; de l'autre , le Duc de Milan coupable de Félonie,le mertoic en droit de fe faifir de fon Duché , & âès-lors toute l'Italie lui étoic afïervie.
Seite 377 - L'effroi fut général dans l'Italie. Les Florentins , qui craignoient pour leur liberté , fe hâtèrent de lui envoyer leurs députés, pour tâcher de fe concilier fa bienveillance.
Seite 303 - Il mourut les armes à la main , mais il mourut fans gloire , parce qu'il fervoit contre fa patrie , & qu'il faifoit la guerre en brigand.

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