Mémoires historiques sur la Maison Royale de Savoie et sur les pays soumis à sa domination, Band 1Chez Pierre Joseph Pic, 1816 |
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Aimon alpes Amédée VIII armes avaient Baron de Faucigny baron de Vaud Boniface Bourgogne Bresse Bugey cardinal Chablais Chambéry chancelier Charle-Quint Charles VIII château chevaliers Chiesa comte de Genêve comte Verd comtes de Provence comtes de Savoie Conrad d'Amédée VIII d'Anjou d'Hautecombe d'Ivrée Dauphiné douzième siècle duc de Savoie ecclésiastiques empereurs états de Savoie évêque famille Faucigny féodal fiefs fille fils François I.er gentilshommes Guelfes guerre Guichenon Guillaume Henri Humbert impériale Italie Jean l'église l'empereur l'Italie Lombardie long-temps Louis XI maison de Savoie mariée marquis de Monferrat marquis de Saluces marquis de Suse marquisat Maurienne monumens mourut n'avait NAISSANCE ET MORT Naples Nice noblesse Papes pays de Vaud PERSONNAGES ILLUSTRES Philibert Philippe Piémont premier PRINCES CONTEMPORAINS princes d'Achaïe princes de Savoie province puissance règne rois royaume s'étaient saint Savillan Savoyards surnommé surtout Tarantaise Thomas titre de comte troupes Turin vallée d'Aoste vassaux Verceil villes libres Visconti
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Seite 303 - Cantons, pour cet important traité appelé la paix perpétuelle, parce que le corps helvétique n'a jamais varié, depuis lors, dans son attachement à la couronne de France. Les Suisses donnèrent dans cette occasion une singulière marque d'orgueil national ; ils refusèrent d'envoyer leurs députés dans une ville de France, et exigèrent que le congrès se tînt sur leur territoire, et que le traité fût rédigé en allemand. Fribourg fut désigné pour le lieu des assemblées, et les négociations...
Seite 126 - Déjà, quelques années auparavant, en 13i9, nous le voyons, tout jeune encore, intervenir personnellement à un traité passé entre lui, l'abbaye d'Hautecombe et la ville de Chambéry, relativement aux fours de cette ville. 1 On ne voulut, disent les historiens contemporains, qu'une des plus riches héritières de la chrétienté sortît de France pour agrandir une puissance qui déjà prenait, à son gré, trop d'accroissement. Ce fut donc un motif politique qui empêcha ce mariage.
Seite 260 - Couronne, à force de vouloir se ménager et s'agrandir entre le roi de France, le roi d'Angleterre et le duc de Bourgogne, n'avait réussi qu'à offenser de tous côtés.
Seite 80 - Guichenon (2), que, l'an 1343, le Dauphin, étant allé en France, donna tout son pays de Dauphiné à Philippe, fils puîné du roi, ou à l'un des fils de Jean, duc de Normandie, son fils aîné, sous de grandes réserves , et...
Seite 138 - ... provinces , et pendant son .séjour dans chaque lieu considérable, il prenait par lui-même une connaissance exacte des intérêts du pays. Il écoutait les plaintes et les remontrances , il réformait les abus, pressait l'expédition des affaires, et surtout il faisait juger sans retard les causes portées en dernière instance à son conseil.
Seite 318 - ... fermait sa cour à tous les sectaires. Des lettres de François Ier la pressèrent sans doute de livrer l'hérétique fugitif. Marot ne revit sa maîtresse que pour s'en séparer presque aussitôt. Il abandonna à regret ces lieux où l'amour semblait lui promettre le bonheur ; il résolut de se retirer auprès de la duchesse de Ferrare , Renée de France , fille de Louis XII et d'Anne de Bretagne. Cette princesse , que la politique de François Ier avait mariée, en i528, à Hercule d'Est, avait...
Seite 77 - Briançon , qui y portaient le litre de vicomtes, et qui la tyrannisaient; soit par un accord avec les métropolitains et le chapitre de Moutier ,' qui achetèrent sa protection, en partageant avec lui les droits de régale. Le même accord fut fait depuis avec les évéques de Maurienne et de Lausanne.
Seite 279 - La duchesse flattait alternativement ces dangereux protecteurs , faisant peu de fond sur les espérances, dont ils la repaissaient, et se réservant de les opposer l'un à l'autre , si l'intérêt de son pupille venait à l'exiger; mais ils trompèrent sa prudence; ils avaient rempli d'intrigues sa cour et son pays. Elle devint suspecte au roi de France , par les secours qu'elle fournit au duc de Bourgogne contre les Suisses. Elle aliéna le duc de Bourgogne, par les efforts qu'elle fit pour recouvrer...
Seite 45 - C'était, dit M. Costa de Beauregard dans ses Mémoires historiques sur la Maison royale de Savoie , des ilotes voués aux travaux des champs , à qui l'usage des armes était interdit, qui ne devaient jamais quitter le sol natal, qui ne connaissaient point les douceurs de la propriété et auxquels il n'était permis ni de se marier ni de tester sans le consentement de leurs seigneurs, lesquels étaient les maîtres de lever sur eux des contributions arbitraires , et comme , selon la coutume des...
Seite 13 - On ignore le lieu et la date de sa naissance , ainsi que le lieu et la date de sa mort. — Art ( 1' ) de prolonger la vie et de conserver la santé, ou Traité d'hygiène.