Les volcans, leurs caractères et leurs phénomènesMasson et fils, 1864 - 504 Seiten |
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augitiques basalte calcaire caractère cause cavité chaîne chaleur champs Phlégréens Charles Lyell collines compacte compose cônes de cendres conglomérats considérable consolidation contexture côté couches coulé courants de lave cristallines cristaux croûte d'augite d'eau d'éruption Darwin distance dykes éruption exemple explosions extérieure feldspath fissures flanc fluide formation forme fragments fusion généralement géologique globe gneiss granit greenstone greystone hauteur horizontale îles inférieure jusqu'à Kilauea kilomètres l'action volcanique l'eau l'Etna l'île l'orifice latérales laves trachytiques leucite ligne Lipari liquide Lyell masse de lave matière ment mètres minéraux Mont Dore montagne volcanique niveau orifice parallèles paroxysme période phénomènes phonolithe plateau plutonique ponce Ponza Pouzzoles presque pression probablement produit profondeur quelquefois refroidissement région roches volcaniques s'élève scories scoriforme semblables solfatare solide sommet soulèvement sous-aériennes sous-marine souterraine souvent Stromboli structure supérieure surface syénite température tertiaires tion torrents de lave trachyte travers tremblements de terre trouve vallée vapeur vaste verticale Vésuve vitreuse vomit
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Seite 38 - C'est ce que M. Bischof et d'autres savants ont bien fait ressortir par de nombreuses considérations '. I.Vnu doit être considérée comme un agent Important de métamorphisme. — Mais dans les exhalaisons volcaniques, il est un corps qui n'a pas tout d'abord fixé l'attention, parce que, sous l'empire des idées anciennes, il semblait tout à fait inerte, surtout en présence des minéraux dont il s'agit d'expliquer la formation.
Seite 38 - Dans les exhalaisons volcaniques, il est un corps qui n'a pas tout d'abord fixé l'attention, parce que, sous l'empire des idées anciennes, il semblait tout à fait inerte, surtout en présence des minéraux dont il s'agit d'expliquer la formation. Il n'y existe pas en quantité minime, comme les vapeurs dont nous venons de nous occuper ; c'est, au contraire, le produit à la fois le plus abondant et le plus constant des éruptions dans toutes les régions du globe... Nous ne connaissons des masses...
Seite 38 - Nous ne connaissons des masses situées à une certaine profondeur dans notre globe que ce qu'en apportent les volcans; or, ces déjections renferment toutes, sans exception, de l'eau, soit combinée, soit mélangée; nous sommes donc en droit de penser que l'eau joue un rôle tout à fait important dans les principaux phénomènes qui émanent des profondeurs. On...
Seite 234 - Si l'on remplit une poêle à frire ordinaire d'un pouce ou deux de plâtre mêlé avec de l'eau, dans laquelle on a fait fondre un peu de glu (pour l'empêcher de prendre trop vite), jusqu'à consistance de pâte, et qu'on la place sur le feu de façon à faire bouillir l'eau avec assez de violence, les bulles qui crèvent constamment à la surface en se suivant rapidement...
Seite 417 - ... de glace et d'eau, et couvrent plusieurs kilomètres carrés de nappes de roche solide, il est clair qu'il n'est guère possible d'imaginer dans toutes les forces de la nature de plus puissants agents de changement superficiel.
Seite 159 - Dans le principe , ce n'est que l'amoncèlement d'une première éruption ; il en survient une seconde, puis une troisième, et la masse va toujours s'augmentant en raison du nombre et du volume des éruptions.
Seite 295 - Bouligny appelle sphéroïdal, jusqu'à ce que la lave soit refroidie au degré où cesse la répulsion et où l'eau vient en contact avec les surfaces échauffées ; puis un vaste volume de vapeur s'échappe avec explosion et disparaît dans l'eau froide et profonde de la mer, dans laquelle elle est aussitôt condensée. C'est ainsi qu'une espèce de coup, d'impulsion de la plus grande énergie serait donnée au foyer volcanique et, se répandant dans toutes les directions, esl transmise comme tremblement...
Seite 418 - ... boules de feu ou bombes volcaniques s'éleva la nuit à une hauteur de 7,200 mètres au moins, puisqu'on la vit à 288 kilomètres en mer. On entendit éclater plusieurs de ces bombes à 160 kilomètres de distance. Il faut donc qu'elles aient été fort grosses...
Seite 423 - Cette île, qui mesure environ 6 kilomètres sur 3, est traversée dans toute s'a longueur, de l'est à l'ouest, par une...
Seite 87 - ... carbonisée. Ce fait pourrait s'expliquer peutêtre par l'humidité de leurs surfaces, qui. étant subitement vaporisée, a pu agir comme une espèce de fourreau protecteur pendant le court intervalle entre leur immersion dans la lave et le refroidissement de la première enveloppe.