Histoire littéraire d'Italie, Band 6

Cover
Michaud frères, 1813 - 504 Seiten
 

Ausgewählte Seiten

Andere Ausgaben - Alle anzeigen

Häufige Begriffe und Wortgruppen

Beliebte Passagen

Seite 490 - Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux, Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure, Depuis que votre corps languit sans nourriture.
Seite 489 - C'est là qu'en arrivant, plus qu'en tout le chemin, Vous trouverez partout l'horreur du nom romain, Et la triste Italie encor toute fumante Des feux qu'a rallumés sa liberté mourante. Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers : Et, de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah ! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus, un esclave, un...
Seite 489 - Déjà de tout le camp la discorde maîtresse Avait sur tous les yeux mis son bandeau fatal, Et donné du combat le funeste signal.
Seite 5 - Je rapporte ici ces ridicules décisions d'hommes qui passent cependant pour de bons juges , et dont notre jeunesse respecte et va répétant les arrêts , pour que nous comprenions bien comment il arrive que les autres nations nous accusent d'ignorance , d'orgueil, d'impolitesse , et de légèreté ; pour que nous apprenions à rougir de ces opinions aussi fausses qu'inciviles et inhospitalières , pour...
Seite 254 - tranquille, répondit l'autre, je veux prendre « votre mesure; » et, le parcourant ainsi depuis les pieds jusqu'à la tête, il lui dit froidement : « Vous avez deux pistolets et demi de haut. » Pierre ayant eu le temps de se remettre : « Tu es « un grand fou , lui dit-il, et tu fais toujours des « tiennes; » mais il n'osa plus mal parler du Tintoret, et devint même de ses amis (1).
Seite 278 - II y avait deux théâtres, l'un « d'un côté de la salle , et l'autre de l'autre côté. « Lorsqu'on avait fini sur le premier un acte de la
Seite 6 - ... respecte et va répétant les arrêts , pour que nous comprenions bien comment il arrive que les autres nations nous accusent d'ignorance , d'orgueil , d'impolitesse et de légèreté ; pour que nous apprenions à rougir de ces opinions aussi fausses qu'inciviles et inhospitalières, pour qu'enfin nous nous sentions engagés, par cette utile honte, à étudier avec quelque attention ce qu'ignoraient complètement ceux qui en ont ainsi jugé, à être justes pour les étrangers, et, s'il se peut,...
Seite 494 - Teseo mio, sì che mio ti vo' dir, che mio pur sei, benché t'involi, ahi crudo! a gli occhi miei. Volgiti, Teseo mio, 795 volgiti, Teseo, oh Dio! Volgiti indietro a rimirar colei che lasciato ha per te la patria e il regno, e in queste arene ancora. cibo di fere dispietate e crude, 800 lascerà l'ossa ignude.
Seite 470 - Angelo Grillo, ami du Tasse, lui écrivait : « Vous êtes le père d'un nouveau * genre de musique, ou plutôt d'un chant qui * n'est point un chant , d'un chant récitatif, * noble et au-dessus des chants populaires, qui « ne tronque pas , n'altère pas les paroles , ne « leur ôte point la vie et le sentiment , et les « leur augmente, au contraire, en y ajoutaut « plus d'âme et de force , etc.
Seite 260 - H poussa l'orgueil jusqu'à donner son portrait en présent , comme le font les souverains ; et ce qui est plus singulier, il en régala même le roi de France. On frappa pour lui et lui-même aussi se fit frapper des médailles en cuivre et en argent, qu'il donnait à ses amis, aux étrangers, aux princes. Il était grand et libéral dans sa dépense, magnifique dans ses habits, généreux et même charitable, peut-être par ostentation, peut-être aussi par habitude et par penchant (3). » Le plus...

Bibliografische Informationen